Béatrice Lukomski-Joly


Ma page Facebook Ma page Facebook

Le mystère de l'ombre

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Nous rencontrons parfois des êtres avouant dans le secret des échanges qu'ils ont refusés trente fois d'accorder le pardon demandé à une âme leur ayant demandé trente fois le pardon avant de mourir,

mais ils clament haut et fort en public que le Très Haut parle au travers eux et les sert. 

Qui parle en eux ?

C'est le mystère de l'ombre incompris.

La Rose meurt en leurs âmes et éteint Sa lumière.

Ils ont creusé la tombe du mensonge.

L'ombre tourne autour de leurs fronts.

Ô douleur !

BLJ

L'otage et l'amour du prochain

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Y a-t-il au monde un seul et unique homme qui ne mérite pas l'Amour, quand bien même, il serait l'otage d'une méconnaissance, absent de la connaissance, ancré dans l'erreur de la pensée, manipulé par le monde qui ne souhaite pas le voir installer à sa juste place ? 

Exemple : Un peuple qui se déplace, ayant un rêve de vie, tel nous le vivons, ne mérite-t-il pas notre amour et notre compassion, dans la mesure où il est formé d'hommes que l'Amour aime. 

Non ! Aucun  !

BLJ

Le fardeau

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

https://www.pinterest.fr/pin/417849671656257621/

 

J'ai vu un bateau tanguer lors la marée

Chargé de destinée dans ses douleurs,

Et dans la houle des courants, vaciller,

Perdre son équilibre dans sa grandeur.

 

La cale trop pleine, pourtant accordée,

Ne l'enseignant plus, la vie mourait,

Soumise au tsunami qui cache le sentier,

La besace si pleine que l'âme suppurait.

 

Là-haut, près du minuit des mondes,

Cette beauté acclamée prit le fardeau,

Et d'un vœu clama la cale si féconde

Que la coque fut lestée de radeaux.

 

La destinée usa tous les vaisseaux,

Échoués sur les lointaines terres fertiles.

Lorsqu'il ne resta plus qu'un soubresaut

La vie plia et fort navire chavira utile.

 

Avait-on donné le poids des âges

À une seule âme, prompte aux dieux,

Que son nom fut Job au plein gréage,

Pliant sur la poussée des remous d'adieux.

 

Il n'était qu'homme venu du soleil,

Initié divin survivant de l'Atlantide,

Se remémorant l'envol des éveils

Lorsqu'il fut guide parmi les cariatides.

 

Tel, je le connus marchant sur terre,

Accablé et triste, portant sur le dos

La misère du monde avec son Jupiter.

Nul ne le reconnut harassé de fléaux.

 

La douleur des temps

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

 

Gris est le temps s’élevant sur son voile.

Les nuages dansant aiment ses anges blancs,

et regardant le fil ténu de la soie sur l’étoile,

ils se fissurent pour que le voile se lève.

 

C’est l’harmonie de la volonté céleste

qu’ils voient s’établir sur la terre en son sein,

Et adorant sans cesse, ils célèbrent le geste

que l’avenir écrit en son Graal de soleil plein.

 

Voient-ils le venin descendre et s’établir

qu’ils bercent de foi leur amour en la vie

pour qu’hommes aiment et glorifient la lyre,

jouant la voix du Père à tous en leur logis.

 

L’Amour écrit sa lettre ; ses sceaux brillent,

et qui les reçoit dans la douleur des temps

écrit en son âme la vie sur leurs mantilles

lors le chemin choisi, lors le son qui nous attend.

 

Et j’entends les larmes emplir les puits ;

De leur abondance, creusent le fossé de feu

que la terre engouffre puis pardonne de nuit

quand la sombre mission achève son nœud.

 

La valeur de l'effort

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Il est très triste de voir la profondeur de l'Esprit se diluer dans les méandres des réseaux sociaux sans que celui qui lit puisse faire le chemin individuel dans l'effort de la Pensée.

C'est, ainsi :  enlever à la valeur de l'effort, la présence de la volonté.

C'est de l'inconscience que de le faire.

Il faut penser à cela lorsque nous imposons de telles hautes pensées sans se soucier du chemin de l'autre dans ses possibilités de recevoir et de se transformer.

BLJ

Fil RSS des articles de ce mot clé