Béatrice Lukomski-Joly


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Il m'arrive de me relever la nuit lorsqu'une pensée me réveille pour que je l'écrive quelqu'en soit l'heure.

Il n'y a rien dans mes pensées du jour ou de la nuit que je n'ai pensé par moi-même, sans rien piller, jamais, dans la mesure ou je les ai éprouvées moi-même.

Parfois, souvent, elles sont  des pensées maturées suite à de nombreuses lectures expérimentées.

Il arrive fréquemment que je les complète après les avoir repensées, m'apercevant que je les ai amputées d'une part essentielle ; en cela elles ne sont jamais figées mais mobiles dans le temps.

Il m'arrive très fréquemment de lire un texte de Pensée, de m'arrêter en cours de lecture pour penser ( ou méditer ) ce que je viens de lire et de m'apercevoir que la lecture reprise m'apporte exactement ce que j'ai pensé / trouvé. 

Béatrice Lukomski-Joly - © 2021

Petite réflexion sur les faits

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Un fait est un évènement (ou parole car la parole est un évènement qui surgit ) qui a eu lieu et qui s'est inscrit dans le temps et dans une vie. Il est irrévocable. C'est un fait (évènement ) réel, une réalité devenue incontournable.

Souvent, nous voyons, les gens confondre les faits avec des sentiments ou des jugements.

Lorsque nous relatons un fait, nous n'y mettons pas de sentiment ni de jugement, car le fait est à sa place. Si le fait raconté engendre un jugement ou un sentiment, cela n'engage que celui qui n'entend pas le fait comme un fait, mais qui a des sentiments ou jugements personnels à l'égard du fait relaté. Si le fait est déplacé en un sentiment ou jugement, il n'en reste pas moins un fait qui a eu lieu.

Il faut avoir beaucoup d'écoute et de compréhension pour entendre un fait sans y mettre son Soi, c'est à dire transformer le fait en un sentiment ou un jugement, car le fait ne peut pas être déplacé ni supprimé.

Quand il devient sentiment ou jugement, c'est l'âme d'autrui agissant en son nom propre selon ses qualités ou défauts.

Exemples :

si nous donnons le fait qu'une guerre a été déclarée tel jour à telle heure, c'est un fait.

Autre exemple plus simple / Si nous marchons dans la rue, c'est un fait : je marche, et nul n'a de sentiment ou de jugement à nous voir marcher dans la rue. Nous marchons.

Encore un exemple d'un autre acabit : quelqu'un nous blesse physiquement par une arme ou en nous ayant poussé, ou moralement, c'est un fait qui a eu lieu. Même si le fait engage une action, cela reste un autre fait. 

Et : Le vent s'est soulevé et a plié l'arbre au point que l'arbre a été déraciné ; c'est une succession de deux faits en relation. Que nous ayons ou non un sentiment de tristesse ou de colère sur ces deux faits ne relèvent que de l'émotion ou non vécue de voir le vent se lever et abattre l'arbre, mais ne suppriment pas les deux fait : le vent s'est levé et l'arbre a été arraché.

Dans le fait, seul le fait est contenu. Le fait n'est alors pas confondable avec le sentiment ou le jugement si nous restons dans le fait lorsque nous le décrivons.

Ce que nous pensons ensuite du fait de déclaration de guerre ou d'avoir marché ou d'avoir été blessé, fait entrer le jeu de la réflexion / reflection sur l'évènement mais cela n'est plus le fait en tant que tel.

Pourquoi tel ou tel fait a eu lieu est un autre sujet qui entre dans deux champs de compréhension : 1/ il était inscrit dans la destinée de par un fait antérieur revenant à nous et 2/ s'il n'est pas la destinée, il est alors l'objet du libre-arbitre voulu ou non de l'autre engendrant le karma dans d'autres faits qui entreront en résonnance.

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Orgueil 2

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Comment reconnaître l'orgueilleux  dans ses formes les plus secrètes ? 

Il a un visage particulier dont la ride essentielle est ascendante et prononce des paroles angéliques jusqu' à ce qu'apparaisse sa colère, parfois démesurée et le mensonge.

On le dit donc sage parmi les sages mais il n'est qu'un serpent déguisé, car arrive toujours le moment où il attaque sans même avoir remarqué sa colère piquante non maîtrisée.

Lorsqu'il croit avoir acté de lui-même et refuse de voir avoir été guidé par les Hiérarchies ensemble ou une seule d'entre Elles, il affirme avoir acté en son seul nom, excluant toutes Puissances spirituelles en leurs actes. 

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Voir briller la lumière

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Quand les hommes cesseront de voir leurs souffrances, bien qu'elles soient de gain, pour voir celles d'autres, le monde sera devenu une corbeille tissée d'or céleste.

Quand ils cesseront de voir chacun comme un ennemi, étant leur propre ennemi à leur vie, ils verront la lumière briller en leur coeur et le coeur de tous les hommes.

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Le plus du peu

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Comme ceux ayant vécu le plus dans le peu qu'ils pouvaient, ils ont dit qu'ils avaient vécu le pire, le plus, sans voir la misère des hommes, sans voir ni ressentir le monde, vêtus de vanité, parce que le plus se peut dans le peu vécu chaque jour, créant la belle somme de l'humilité que réclament nos âmes.

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Compassion toujours

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Pensée du jour, pensée tous les jours, pour lui donner vie :

Lorsque nous serons parvenus à avoir de l'empathie, de la compassion, envers tous les hommes, alors viendra l'heure où nous aurons aussi de la compassion pour nos défunts les voyant souffrir dans leur Kamaloka. Certes, ce sont des souffrances ajoutées à notre destinée mais compassion dit Amour et crée Conscience, établissant un pont entre eux et nous.
La compassion ne se limite pas à nos frères incarnés mais bien à l'ensemble des âmes incarnées ou non.


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La source plutôt que les flaques

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D'un grand auteur, d'un initié, nous lisons souvent  maints livres issus de la source.

Mais qu'est-ce que la source sinon l'Origine, la Genèse, d'un auteur ? 

Au risque de fâcher, de déployer  la foudre, je prends le risque de dire que tout ce qui tourne autour d'un auteur d'envergure, d'un Initié, n'est que flaques inutiles à quelques  très rares exceptions près puisque tout comporte une exception.

A quoi bon redire, reformuler ce qui est l'origine, l'incommensurable don ? 

Un Goethe, un Dante, un Platon, un Schiller, un Rudolf Steiner, un Victor Hugo, etc. ne se suffisent-il pas à eux-même ?

Est-ce que l'homme a besoin de facilités intellectuelles qu'il ne sache pas jeter son seau dans la source pour s'abreuver  sans être contaminé par qui n'est pas la source mais la seule compréhension d'un être sûr de lui d'avoir tout compris en sa seule astralité pensante ?

Oui, tout ce qui est écrit autour des pensées des grands auteurs et Initiés n'est que flaques ou éclaboussures sans avoir creusé le sol de la source pour voir d'où elle jaillit.

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L'Amour renouvelé

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Qui n'a pas dans les larmes trouvé l'Amour Cosmique
et dans la joie partagé le doux pain des heures Adamiques,
laissant derrière lui, père, mère, enfants, époux et épouse,
est encore sur le chemin des Heures loin des Douze,
pauvre de l'Amour renouvelé, éclairant et illuminant
toutes secondes dans l'instant de son éternité en l'Adam.

 


 

D'allégresse

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L'année s'achève doucement et vous avez été là venant me lire, partageant mes textes, appelant d'autres lecteurs.

Il y eut des jours incroyables. Je me demandais si je ne rêvais pas tant vous étiez nombreux.

Et simultanément, le livre-papier est défunt.

Je vous souhaite un très heureux Noël riche de partages et de foi. Croyez en le meilleur même quand des hommes voudraient faire croire le contraire. La haine et son orgueil à croire que nous sommes meilleurs que d'autres n'est pas un chemin, elle ne l'a jamais été. Elle est un bourbier dans lequel les hommes s'enlisent. Là où il y a de la haine ne peut pas vivre Noël.

Soyez d'allégresse en ces douze nuits saintes qui arrivent.

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La Nature du Hiérophante

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Le corps physique est  un Temple, il est le Temple de l'Esprit que nous habitons dans l'inconscience, mais lorsque l'inconscience se transforme en conscience, nous connaissons l'Esprit en Soi. Alors survient  une autre conscience, celle que notre Temple abrite une Eglise. C'est la foi. Elles se manifestent en chaque flamme que nous allumons pour le Monde de l'Esprit, êtres incarnés et désincarnés devenus Eglise. Nous les rendons visibles en la première nuit de Noël en témoignant de la Lumière au travers de la Flamme qui est tout à la fois  terrestre et spirituelle, visible et invisible, sauf qu'elle devient visible lorsque nous allumons autant de lumières qu'il y a d'âmes dans notre vie consciente. Elles sont le Monde. Ô, bienheureux pays ! L'église est accomplie et le Temple s'éveille en la Nature du Hiérophante devenue  notre conscience.

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Règne animal, végétal, minéral et règne humain

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Photo issue du site : https://www.pouvoirdespierres.com/les-elixirs-en-lithotherapie/

Il n'y a que le règne animal quand l'un de ses membres attaque un autre de ses membres qui ne déclenche pas une guerre contre une autre race animale : un chat contre un chien, un tigre contre une antilope.

Est-ce que de surcroît  une âme animale, celle des oiseaux ou toutes autres par exemple, attaquent  l'homme quand l'homme a tué un de ses membres ? Non.

Nous pouvons aussi penser ce fait pour les autres règnes de la terre : végétal et minéral.

Est-ce qu'une rose attaque une anémone voisine de ses racines parce qu'elle  habite et peuple le même sol ? Non. Est-ce que le blé attaque l'orge et le tilleul, le chêne ? Non.

Est-ce qu'un rubis attaque une émeraude, ou un schiste une roche volcanique voisine ? Non.

Est-ce que la nuit attaque le jour et la lune le soleil ? Non.

Seul l'homme fait cela. L'homme déteste un de ses semblables pour ce qu'il est de culture, de pensée, d'identité différentes et il déclenche une guerre contre le monde - un pays contre un autre pays -

Le règne de la Nature est une sagesse en soi que l'homme doit contempler pour enfin comprendre ce qu'il est au monde : une absolue nécéssité d'être la Liberté d'aimer sans combattre la différence.

L'homme n'est pas fécondé de conscience tant qu'il n'observe pas la Nature en ses règnes.

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On m'a demandé...

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On m'a demandé de haïr les Russes, je n'ai pas pu.

On m'a demandé de haïr les Ukrainiens, je n'ai pas pu.

On m'a demandé de haïr les Arabes, je n'ai pas pu.

On m'a demandé de haïr les gens de peau noire, je n'ai pas pu.

On m'a demandé de haïr toutes les différences, je n'ai pas pu.

On m'a demandé d'être identique à chacun sans choix personnel, je n'ai pas pu.

 

J'ai répondu : Pourquoi me demandez-vous cela ?

Je ne vois que des Frères et des Soeurs en l'Humanité.

Je suis.

Le mal en l'autre  me fait mal, me heurte, me blesse, me cloue, me flagelle, me transperce, car nul n'est conçu pour le mal.

 

Parce que je n'ai pas pu, on m'a haïe, chacun en ses préférences et appartenances. Je les ai bénis même lorsque pleurant. 

 

Et à ceux que j'ai dérangé, indisposé, agacé,  j'ai dit au-revoir en les aimant de toute mon âme. Car ils n'ont pas vu que leurs mots, leurs regards, leurs pensées, étaient de la haine espérant l'Amour, Substance de toutes les substances, remettant ainsi à Demain leur haine dans les mains de l'Amour parce que l'Amour habite chacun, parce qu'il n'y a pas de haine qui ne devienne Amour le Jour qui suit. 

BLJ

Gratitude infinie.

 

L'Homme au casque d'or - Rembrandt

 

Dignité

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Ne retenez jamais ce qui s'en va, car cela doit être.

Ne pleurez pas sur l'achèvement d'un acte, car il a été. Ne pleurez que sur le manque d'Amour.

Cela est  dignité de comprendre que tout a une fin en soi pour aller de l'avant quand bien même  cela semble être une rupture.

Telle la graine du rosier germe et donne le rosier et ses fleurs retournant vers la graine, vous devez être.

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Impie

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"Dante et Virgile visitant les enfers" de Gustave Doré d'après "La divine comédie" de Dante.

Tableau au musée de Brou à Bourg-en-Bresse Ain

 

Celui qui désire ardemment tuer son semblable parce qu'il lui semble être différent sans le voir semblable est purement un impie et a en sa bouche les mots du Serpent.

Tout être humain est un être souverain. 

Heureux et noble est celui qui combat l'impie et combat le Serpent à la face angélique mais aux paroles acerbes, guerrières, assassines.

Mais que l'impie s'abstienne de faire croire que l'impie est l'autre et non le serpent oeuvrant en sa pensée et sur ses lèvres. Car il lui sera compté triple dettes. 

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Les amis et les doigts

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Image propriété personnelle non libre de droits

 

Discussion avec mon fils

« Combien d'amis ne t'ont pas tirée dans le dos, maman ?

Combien t'ont utilisée ?

Combien d'amis as-tu aidés ?

Combien de gens croisés ont reçu tes largesses de cœur ? »

J'ai alors regardé mes mains et ai compté le nombre de doigts qu'elles avaient comme si personne ne me l'avait appris et ai répondu :

« Combien ai-je de doigts, mon fils ?

Cinq à une main, cinq à l'autre main.

Est-ce que cela me fait dix doigts ou deux fois cinq ? Nous avons tout à la fois cinq doigts et dix doigts mais cinq sont autonomes et dépendants les uns des autres sans être dépendants des cinq autres.

Si je fais le parallèle avec ta question qu'en est-il ?

Je n'ai que deux doigts pour amis à une main et sur l'autre mains j'en ai cinq qui ne me servent pas en qualité d'amis car tous les autres regardent ces deux la, mais les deux aiment les huit restants, c'est pour cela que j'écris car je n'ai besoin que de trois doigts pour tenir un crayon, l'un d'eux est donc un faux ami et pourtant il tient solidement ma plume.

De quoi ai-je alors besoin d'autre puisque trois et huit sont des nombres parfaits et que les dix se trouvent dans mes écrits pour faire l'unité absolue ?

Vois-tu, mon fils, si tu n'es pas l'architecte de tes doigts, qui le sera à ta place quoi que fassent tes doigts armés de ta seule volonté car il n'y a de mouvement sans que tu n'aies voulu les bouger.

Il en est ainsi des amis. Aucun ami n'est indispensable et tous pourtant le sont. Si tu attends un mouvement des doigts des autres, c'est que tu n'as pas compris que seule leur volonté est à l’œuvre et qu'en cela tu ne peux rien vouloir pour eux et tes doigts ne peuvent vouloir pour l'autre ce que tu espères d'eux.

Ce n'est pas être aimé qui importe, c'est l'amour que tu auras déployé de toute ton âme pour ceux qui t'aiment sans rien attendre en retour et surtout pour ceux qui ne t'aiment pas car c'est de ceux-là que tu es riche. Là est la clef de la volonté dans l'adversité.

C'est en cela que les amis-ennemis te servent et ceux rares qui aiment ne servent que le Christ. »

Photo floue car la vitre était pleine de reflets :

Tableau à l'huile appartenant à ma fille Julie et me représentant en mai 1983 en train de lire Rudolf Steiner au bord de l'étang des Lésines à Hauteville - Ain -

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Pensées sur la nature

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La poésie est l'oraison de la Nature, et chaque arbre, chaque fleur, chaque brin d'herbe est sa louange ; c'est pour cela que l'oiseau chante plus puissamment le matin qu'au crépuscule car il salue, de battements d'ailes dans le courant des forces de vie, la naissance de la terre qu'il vivait, épuisée, dans la nuit car la nuit est la fatigue du jour communiquée à l'homme.

La Nature est l'adoration du principe créateur dont le poète se charge pour la restituer à sa Nature ; elle prend l'Homme à témoin pour que le vent, chantant son mouvement, soit l'éloge de l'adoration.

Nul ne peut préférer la ville à la nature si sa nature n'est déjà pas pervertie par le néant de la ville. La ville n'a qu'un but, c'est celui de faire comprendre combien la Nature est primordiale pour que l'Homme renoue avec elle car elle est une avec Lui.

Un arbre est une prière. Voyez comment ses branches et son feuillage s'inclinent et se redressent et vous entendrez un psaume chanté pour la grâce de la lumière. Il en est ainsi de tous les sons de nature. Dans la force calme de l'eau, nous percevons des Laudes. Dans son tumulte, nous discernons les Nones. Dans l'amplitude du vent, ce sont les Tierces qui parlent à nos oreilles. Lors d'un orage, ces Sextes nous racontent le martyr de la nature balayée par sa souffrance. Le cri du hibou nous appelle à célébrer les vêpres. Même la lune a son chant qui sont les Complies. Rien n'est muet, et tout raconte au poète la force de la musicalité que donne à entendre la nature au lever, à ses heures, à son coucher.

Ne croyez jamais que ce sont les hommes qui ont créé les chants des heures divines que Nature offre à notre entendement et à notre conscience, c'est la Nature qui les a soufflés aux consciences, emphores d'Hommes, acteurs du monde, ayant entendu le Verbe.

La poésie est donc, par essence, le témoin de la parole de la Nature morcelée soiut du principe Créateur,  qui se veut rédemptée en un tout.

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Toutes photos personnelles

Souvenir de soi

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Qu'importe que vous laissiez un souvenir de soi si ce souvenir n'est qu'un souvenir en surface et non un souvenir de ce qu'est  l'être en vérité !

Nous laissons de nous davantage de souvenirs en surface que de souvenir de l'être profond, intime, authentique que nous sommes et étions.

Aussi ne nous attachons pas à ce que nous laissons de nous si nous n'avons pas été vus.

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