Béatrice Lukomski-Joly


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Il m'arrive de me relever la nuit lorsqu'une pensée me réveille pour que je l'écrive quelqu'en soit l'heure.

Il n'y a rien dans mes pensées du jour ou de la nuit que je n'ai pensé par moi-même, sans rien piller, jamais, dans la mesure ou je les ai éprouvées moi-même.

Parfois, souvent, elles sont  des pensées maturées suite à de nombreuses lectures expérimentées.

Il arrive fréquemment que je les complète après les avoir repensées, m'apercevant que je les ai amputées d'une part essentielle ; en cela elles ne sont jamais figées mais mobiles dans le temps.

Il m'arrive très fréquemment de lire un texte de Pensée, de m'arrêter en cours de lecture pour penser ( ou méditer ) ce que je viens de lire et de m'apercevoir que la lecture reprise m'apporte exactement ce que j'ai pensé / trouvé. 

Béatrice Lukomski-Joly - © 2021

L'opéra : musique et paroles Parsifal

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Avant, lorsque j'affirmais mon Amour pour R Wagner et sa musique, ses opéras, son "Parsifal," ; affirmais que je n'écrivais principalement que sur les opéras de R Wagner ; que je me nourrissais de cette musique ; que je me déplaçais pour chaque "Parsifal" ou "tétralogie" joués pour entendre une acoustique sans failles ; "on" me répondait par toutes sortes de pensées contraires… que j'aurais la gentillesse de ne pas traduire ou dire.

Pour résumer : " Parsifal", oui, mais ! sans la musique de Wagner"...

Sans la musique de R Wagner ? Sont-ils certains ? Car c'est la musique qui rend compréhensible  "Parsifal" et non le contraire. Le livret et la mise en scène ne sont présents que pour le profane, car la musique à elle-seule se suffit pour  comprendre "Parsifal" dès lors que le musicien, ici, R Wagner, a donné l'indication de sa musique.

Aujourd'hui, parce que l'opéra "Parsifal" est joué à Dornach, tous les anthroposophes, soudainement, aiment l'opéra "Parsifal". Et avant ?  Avant, c'était, je redis : " Parsifal, oui, mais ! Sans la musique de R Wagner ! Quelle horreur !" Chacun s'y reconnaitra dans son for intérieur avec Vérité.

Et les autres opéras ? les symphonies, les lieder ? Tous du même Esprit, dans le même mouvement et la même dynamique d'évolution vers le Soi-Esprit - Manas -  ? Faut-il les reléguer au néant parce que la musique de R Wagner n'est pas comprise par l'ensemble des spiritualistes pourtant portés de connaissances ?

Que l'on m'explique ce que je n'ose dire !

"Parsifal" comme l'antidote d'une vaccination à l'empreinte d'un Judas, maladie désavouée, reniée dans l'Esprit par les hommes eux-mêmes qui le font.

S'il y a quelque chose de puissant à comprendre. Et, il y a.

Il faut un premier pas. 

Nourrissez-vous de beauté

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Nourrissez-vous de beauté, tous les jours, de poésie tous les jours, la poésie étant la beauté par excellence, et est excellence, préparant la cinquième terre, et vous passerez les périodes sombres malgré ses douleurs, le regard levé vers l'azur étincelant habité de la lumière de Christ, quand bien même, vous serez usé, fatigué, meurtri, ô combien meurtri.

BLJ

Si mal à l'âme

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Tableau d'Arild Rosenkrantz

J'ai mal à l'âme, si mal, si vous saviez, de voir ce que devient notre humanité, de voir ce que fait notre France, d'autres pays, ce que font un grand nombre de nations. J'ai si mal à l'âme si vous saviez ! Tant d'âmes vides, avides de biens matériels, avides d'être soi sans plus voir l'autre, et avides  du vide, tous milieux concernés, nos politiques, nos cités, nos villes, notre monde, tant de gens qui ne savent pas ce qu'ils sont, ce qu'ils font.

Tant d'âmes aiment faire le mal, aimant simplement le mal, jouissant de leurs actes pervers, de la plus petite parole à l'infime action du mal, de la plus grande guerroyant en la laideur immonde. Oui, j'ai si mal à l'âme.

J'ai mal à l'âme, si mal, si vous saviez ! mais vous ne pouvez pas ressentir ce que je vis intérieurement de cette immense douleur. J'ai si mal à l'âme pour tous les hommes avilis, déshonorés, assassinés, bafoués, maltraités et si mal à l'âme pour toutes ces âmes perverties agissant contre l'humanité qui, en moi, est féconde dans la conscience de son chemin sans que pour autant  ma douleur ne s'atténue, et au contraire grandit.

Mon âme pleure sans cesse.

Mais vous ne pouvez pas vivre mon vécu pour le comprendre.

Le vivez-vous ?

Les poètes Virgile et Dante montrant la Voie, la vie, la résurrection et la Lumière du monde.

Si j'étais...Inquiétude

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Si j'étais un Maître, de quoi serais-je le plus inquiet ?

 

1/ Que chaque élève m'idolâtre et brode mes textes en moults livres publiés y ajoutant  ses impressions personnelles.

 

2/ Les mots à leur lecture qui me feraient "peur" seraient  :

  • " Nous pouvons supposer que ... (supposer ?)
  • - En  vertu de cela, nous pouvons penser que ... (nous pouvons penser, mais rien n'est certain)
  • - À partir de cette donnée, il est facile d'imaginer que,.. (imaginer ou supposer) 
  • - Il n'est alors pas difficile de croire que...(sur quelles bases vérifiées ?) 
  • - je crois qu'il n'y a pas de mal à spéculer sur ces questions... tout en affirmant que ...ce  ne peut être que vérité ( Spéculer ???) 
  • - Selon mon sentiment, il est clair que le maître a voulu dire ceci...( est-ce vérifié ? ) 
  • - Il ne l'a pas dit, mais nous savons... (le pire, car il  ne l'a pas dit )
  • - Après enquête, nous avons pu vérifier que...  mais la question reste ouverte. ( si c'est ouvert,  c'est que rien n'est vérifié)
  • - Il m'est apparu que... (comment ? est-ce sur une base clairvoyante ou d'e supposition  personnelle, nous ne savons pas, mais nous y croyons puisqu'il dit  "apparu"
  • - J'ai compris plus tard pourquoi j'avais écrit ceci dans mon livre issu du Maître...je ne l'avais initialement pas perçu. ( Dangereux, car qui écrit vraiment en l'autre s'il ne le réalise que plus tard ? C'est la porte ouverte à toutes écritures faussées. ) 
  • - Que cela soit vrai ou non, c'est à chacun de décider... (une petite phrase qui dit bien que la personne en réalité ne sait pas, à vous de voir.)
  • - Je suis obligé (!) de penser que la tradition orale de mon ami est correcte ...(obigé ??? )
  • - Mais cela me semble aussi qu'il est... ( cela semble mais est-ce vérité ?) 
  • - J'ai toujours été fasciné par... ( fasciné ??? )

Des mots lus à foison relevés dans moult lectures d'auteurs différents parlant d'un seul et même Maître.

 

3/ Que je sois l'idée d'un enrichissement personnel : 60 à 150 euros la journée de conférence par personne (un maximum de 40 personnes ) sur cinq jours ouvrés (!)  pour parler de mon enseignement. (Je l'ai vu.) 150 e X 40 personnes X 5 jours 30 000 de bénéfice net au mieux ou 60 e X 40 personnes X 5 jours = 12000 au pire (!)

4/ Constater le contraire de ce que j'ai enseigné et conseillé.

5/ Que mon enseignement soit transposé en romans de gare.

6/ De voir des gourous emprunter mon nom pour se justifier

7/ De me lire en séquences non reliées entre elles, ne laissant à  personne le soin de méditer,  offrant en conséquence l'abolition du chemin d'intériorisation et de conscience.

8/ Que mon enseignement voulu selon un chemin précis d'efforts soit résumé, ordonné, condensé.

Tout cela m'inquiéterait beaucoup.

BLJ

 

L'obscurité des évènements, et la poésie

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Celui qui ne ferait que plonger dans l'obscurité des évènements de ce monde, de notre société, sans prendre, au moins, une heure par jour pour lire et vivre de la poésie, celui-là se condamne à la maladie, tant physique que psychique, n'ayant plus d'ancrage en son âme, quand bien même, croit-il  pouvoir échapper à l'ombre agissante, quand bien même croit-il rester indemne.

BLJ

 

Pourquoi chercher...?

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Pourquoi chercher celui qui ne veut pas être vu ni être reconnu ?

Celui qui passe les siècles marchant d'une rive à une autre rive, silencieux, et pourtant si riche d'actions en son Mâitre, qu'il est l'inconnu non nommé ?

Tant d'écrivains cherchent sa trace dans le monde en diffusant l'erreur, car, lui,  ayant pris soins de n'être jamais reconnu pour agir dans la Liberté, pas même cent ans après, car déjà là, l'écrivain  cherchant sa trace commet un sacrilège.

BLJ, 

Le confort du mensonge.

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Le mensonge est pour moi une énigme.

Longtemps, il a fallu que l'on m'explique ce qu'il signifiait, ceci avec des images, car je ne lui reconnaissais aucun sens.

Quand je l'eus enfin compris, il me fut difficile de comprendre pourquoi il existait. 

Je le vois ; je l'entends, mais je ne comprends pas son confort. En a-t-il un ? Vous est-il confortable ? 

Il en fut ainsi pour beaucoup de situations que vous utilisez. Il m'a fallu, par exemple, des années pour comprendre ce qu'est la "jouissance du mal". Pour que je le comprenne, il aura fallu que quelqu'un me raconte un acte immoral puissant dans l'horreur tout en faisant une mimique précise pour que je le comprenne. J'ai, alors, crié, "Quoi, comment peux-tu, toi,  en être capable ? " La personne s'est tue.

J'ai gardé en mémoire ce visage en son expression.

BLJ

Quand la vérité sera de ce monde

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Quand la vérité sera de ce monde, cessera l'illusion.

Quand plus un seul ne mentira, cesseront les guerres.

Quand plus un seul  ne sera victime de son orgueil après avoir demandé  ce qu'est sa vérité, alors chantera l'âme et réconforté sera son esprit. Car la vie et la vérité ne s'établissent pas sur le mensonge et l'orgueil.

BLJ

Khalil Gibran "Le fils de l'Homme"

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Gibran_Khalil_Gibran

 

« Mon art ne peut trouver meilleur lieu de résidence que la personnalité de JÉSUS. Sa vie est le symbole de l'Humanité. Il sera toujours la figure suprême de tous les âges, et en Lui nous trouverons le mystère, la passion, l'Amour, l'imagination, la tragédie, la beauté, l'idylle, et la vérité. »

                                                                                                                                                                                                      paroles de Khalil Gibran à Mary Haskell

 

"Un jour, on lira vos silences avec vos écrits, et votre obscurité sera partie intégrante de la LUMIÈRE..."

 

                                                                                  Mary Haskell

https://en.wikipedia.org/wiki/Mary_Haskell_(educator)

 

La diplomatie et son contraire

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La diplomatie est souvent évoquée comme moyen de paix et d'entente entre les gens et les peuples, oui, mais !

La diplomatie comporte aussi son contraire qui est la contre-diplomatie, soit une diplomatie exprimée à l'envers mais qui, restant de la diplomatie, montre son opposé ; seul le but est déplacé dans l'action du concept car elle est concept avant d'être réalité dans la vérité. La cause (ou son fondement) est le moteur pour transformer le but en une anti-phrase ; ce n'est pas même de l'hypnose quoi que déguisée. Tout est dans le savoir-faire diplomatique dans la mesure où tout a son endroit et son envers.

Qui a conscience de cela  sait si il est manipulé à juste droit ou manipulé à contre courant des droits humains.

La pensée claire empêche la manipulation dans un sens comme dans un autre et fait de la diplomatie  une réalité d'amour. Tout le reste est fourvoiement.

Si en conséquence nous voyons s'installer l'inverse de ce qui était attendu et promis en terme de paix et d'entente, c'est que nous avons eu affaire avec la contre-diplomatie, langage du mensonge, utilisée en terme de diplomatie.

N'oublions jamais que tout comporte sa magie blanche et aussi sa magie noire. Tout dépend de l'individu qui l'utilise pour le but dit et celui non-dit. 

BL

Tableau de Louis Janmot, poète et artiste-peintre Lyonnais

"le mensonge" pour " le poème de l'âme"

Quand la vérité dérange, le mensonge prend sa place.

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Enlever le masque ©Getty - Mrs

Quand la vérité dérange, le mensonge prend sa place.

Il en est ainsi depuis que le monde est monde.

Chaque âme possède cette faculté à mentir. 

Savent-ils qu'aussi petit ou grand que soit le mensonge, il impacte le monde et le conduit à sa perte ?

La pensée du mensonge est une commère qui  détruit l'âme le proférant et non pas détruit le monde malgré qu'il le conduise à sa perte. Car il engendre les guerres dont nul ne comprend l'origine, dévastatrice et haineuse du genre humain, sans que les guerres n'aient une place dans la durée.

Le flocon de neige engendre la boule de neige que lorsqu'elle a été façonnée par l'homme. Jamais la nature en elle-même ne crée la boule de neige. Ainsi en est-il du mensonge. Il rencontre dans l'invisible  la somme des mensonges proférés et grossit jusqu'à ce qu'il soit à l'origine d'une guerre,  Le monde n'a pas créé la guerre, ce sont les mensonges des hommes qui leur donnent "vie" dans la mort qu'il ont voulu.

Le mensonge a toujours  son bourgeon dans l'orgueil de soi et le fruit de l'orgueil est la dévastation.

Car chacun des mensonges crée partout dans le monde le désastre avant de faire mal à celui à qui vous  mentez en espérant le détruire pour votre orgueil..
 

Bienheureux est celui qui a appris du mensonge pour ne plus jamais mentir pas même  du plus insignifiant, de celui qui ment - dit-on - pour faire le bien, et être acteur de paix, car l'humilité en la mort  de l'orgueil est beauté et amour.

N'aime pas l'autre ni le monde  celui qui ment. Il n'aime que soi-même.

Voulez-vous la paix en ce monde, ne mentez plus.

BLJ

Illustration du mensonge par 

https://www.artmajeur.com/marie-aufrere/fr/artworks/10348729/mensonge-1-jpg

de https://www.artmajeur.com/marie-aufrere

La jeunesse

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Plus je vieillis et mieux je sais que la jeunesse est un grand défaut.

Elle est fardeau car elle est ignorance.

Elle est légèreté car elle est inconsciente.

Elle est innocence fausse car elle naïve.

Elle est stupide car elle est orgueil.

Elle est une fleur fanée car sa fleur ne fleurit que dans la vieillesse. 

Bénie est la vieillesse.

BLJ

Vivre ou non dans la couleur.

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Le monde de l'esprit est entièrement couleurs et couleurs chaudes, or nous voyons des spiritualistes n'aimant pas la couleur et ne supportant pas de vivre en leur sein, laissant leurs murs et leurs vêtements ternes et sans vie.

Comment vivront-ils lorsque trépassés ?
Dans l'obscurité de ce qu'ils n'ont pas supporté ? Criant à chaque pensée leur affolement et leur dégoût de la couleur vive ?

Qu'ils y pensent avant de franchir le Seuil. Car tout est karma.

Le karma de la couleur est une réalité.

BLJ

"Sunset" de ?

Une destinée est un temple

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Lorsqu'un homme (inconnu ou Guide ou Initié ) tait son identité et ne fait que laisser des suggestions sans rien confirmer ni infirmer, qu'allez-vous chercher qui il est, qui il fut ? Si il n'a pas voulu le dire, la raison en est que cela en aurait profané son être car au lieu de regarder ce qu'il fait, ce sont ses vies passées qui seraient scrutées, et un homme d'aujourd'hui n'est pas ni plus celui d'hier. Cela n'a aucune importance sauf si il le confirme lui-même pour que nul doute ne s'infiltre. S'il a voulu le silence, nous devons le respecter. Mais nous voyons à la place un acharnement à vouloir savoir sans respecter la volonté d'un tel homme qui est le seul, spirituellement, à pouvoir nous autoriser à chercher dans ses vies passées.

Exemple : pourquoi chercher physiquement en ses vies C.R.C puisque lui-même fait tout pour que nous ignorions où il est, vit, décide ? Quelles traces suivez-vous ? Là tous les cent ans, ici bas et ici haut simultanément, le seul don réel d'ubiquité de l'homme esprit incarné... 

C'est extraordinaire de chercher à  savoir qui fut qui ou quoi sans avoir trouvé ce que le chercheur lui-même est et fut dans ses vies antérieures. Un peu d'humilité serait convenable. Non ? 

N'est-ce pas là du voyeurisme plutôt qu'un réel acte de connaissance ? Un outrage à l'Entité ?

Si rien ne nous est donné, alors passons avec humilité.

A défaut, nous introduirions dans le monde spirituel des mensonges sur lesquels  le sens du commun tombera et prendra pour acquis, validant ainsi une erreur que beaucoup prendront pour vraie.  Le devoir de Connaissance a ses limites que la raison et la sagesse connaissent dans la décence et l'humilite, la morale et sa soeur l'Amour. 

Une destinée est un temple que nous n'avons pas le droit de profaner par la curiosité ou le seul désir de savoir. Le faire est une atteinte à sa liberté, à son libre-arbitre.

Nous devons  absolument ne pas subir la tentation de vouloir fouiller en une vie qui ne nous appartient pas.

J'ai entendu tant d'aberrations sur des  vies et des noms supposés, validés, au point que plus rien ne peut les défaire :

1/ " Il ne l'a pas dit mais nous savons." Ah ! Il ne leur a pas dit mais ils savent ! Oh ! cher Ahri ..  Quelle perfidie ! 

2/ " Tu n'aurais pas été, par hasard (! ) untel ?" et à l'autre, heureux d'entendre de tels propos, de valider ce qui n'a pas été vérifié. L'autre a seulement vu un crâne rasé qui lui a fait penser que l'autre a forcément été untel. Vives les crânes rasés ! C'est juste M. Orgueil qui a fonctionné  à merveille. Luci et Ahri d'un commun accord. 

3/ " Mais pourquoi ne pas le dire si tu le sais ? Se taire est un manquement à la vie de l'esprit ! " Lucifer vs Ahri à l'oeuvre ! le beau combat !

Stupéfiant d'irréalisme. Un sentiment de vérité n'est pas de la clairvoyance. Coucou Luci ! Encore Toi ! 

Apprenons d'abord à nous connaître ! Et, je jure que c'est un acte très diificile. 

BLJ

https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Antonio_del_Pollaiolo_-_Ercole_e_l%27Idra_e_Ercole_e_Anteo_-_Google_Art_Project.jpg?uselang=fr

 

La source et la gourde

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Paintings by Polish painter Mariusz Lewandowski (born 1960, Działdowo). @mariusz_lewandowskiart

Si quelqu’un a soif et nous rencontre en chemin porteur à la ceinture d’une gourde nous demandant de l’eau à boire ou se laver les pieds endoloris et que l’homme porteur de la gourde lui répond : « Elle est à sept lieues de toi et douze pas de mes pas. Trop long est le chemin, je ne peux pas t’aider ; tu n’es pas mûr pour ce chemin. » Et la lui refuse.

L’homme ayant demandé l’eau de la gourde repart sans avoir bu, la soif le tenaillant.

Le porteur de la gourde ayant refusé de désaltérer l’homme venu fait douze pas sur sept lieues, seul, enseveli en son orgueil. Car telle était sa mission dans la rencontre : permettre à l’autre de se désaltérer à la source qui n’avait pas désaltéré son propre cœur.

Qui a manqué quoi ?

La source malgré l’effort demandé dans la question posée de la soif ardente ?

Le sens de la parole tue et désertée ?

Les deux car l’eau puisée à la source engendre la volonté de faire douze pas sur sept lieues sans que nous ne restions figés à la même place, inerte et sans actes.

Le premier a trouvé la source ailleurs lors d’une autre rencontre et s’y désaltère.

Le porteur de la gourde œuvre et avance toujours seul, stérile et vide de cœur, malgré qu’il ait appris que celui qui avait soif ait trouvé la source sans lui.

Il dit alors : « Non, vraiment, tu n’étais pas mûr. Cela aurait été dangereux pour toi. Je t’ai protégé du pire. » manifestant ainsi sa colère rentrée de s’être démis de sa mission, que l’autre ait trouvé le chemin sans lui , et aussi de continuer à cultiver l’orgueil plutôt que la rose.

L’eau de la gourde du second non partagée n'est  plus que source tarie.

L’eau de la gourde devenue source dont le premier est le vrai porteur, demandée en quête de connaissances, désaltère une vie entière. Elle est l’éternité, devenue l'amie et l'humble serviteur des Guides.

Ne refusez jamais la source à qui la demande car la source n'est jamais un danger. Elle est vie et liberté, témoignage et courage. Ne choisissez jamais qui peut la recevoir. Ceci n'est nullement en votre pouvoir de décision et de jugement. Que recevrez-vous pour avoir refusé la source . Une pierre ou de l'eau ?

BLJ

La gourde et la source.

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Photos libres de droits issues de : https://pxhere.com/fr/photo/956385

Si quelqu’un a soif et nous rencontre en chemin, porteur à la ceinture d’une gourde, nous demandant de l’eau à boire ou se laver les pieds endoloris, et que l’homme porteur de la gourde lui répond : « Va à la source, l’eau y est plus pure bien que l’eau de ma gourde provienne de cette même source à laquelle je t’invite d’aller. Va à cette source, elle est à sept lieues et douze pas de mes pas. Va ! »

L’homme ayant demandé l’eau de la gourde refuse d’aller à la source, préférant l’eau de la gourde.

Le porteur de la gourde nous l’offre avec joie bien que nous ayons refusé de faire douze pas sur sept lieues. Car telle est sa mission dans la rencontre. Il a la source entre ses mains et en son cœur.

Qui avons-nous manqué ?

La source plus pure malgré l’effort demandé ?

Le sens de sa parole malgré qu’il nous l’ait donné ?

Ainsi est le sens de la vérification de ce que les guides nous ont transmis.

Ce n’est pas pour que nous doutions de lui : je vous dis la vérité.

Mais bien pour que la même eau puisée à la même source engendre la volonté de faire douze pas sur sept lieues  sans que nous ne restions figés à la même place inerte et sans actes.

Ainsi en est-il aussi de l’homme ayant bu à la source des guides ayant vérifié la beauté et l’autorité de l’eau.

L’eau de la gourde ne désaltère qu’un instant. Elle est l’éphémère.

L’eau de la source désaltère une vie entière. Elle est l’éternité, devenue  l'amie et l'humble serviteur des Guides.

BLJ

 

Paintings by Polish painter Mariusz Lewandowski (born 1960, Działdowo). @mariusz_lewandowskiart

Aristotéliciens vs Platoniciens

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Un aristotélicien parle et dix-mille âmes l'entendent.

Un platonicien parle et nul ne l'entend.

 

Le mariage ne sera pas consommé avant longtemps.

 

Le premier se reconnait à la longueur de ses conférences parlant de l'Amour.

Le second se reconnait car dans la connaissance il témoigne de l'Amour.  

 

Les deux sont la Connaissance.

 

BLJ

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