Le poète et l'enfant
Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire
J'ai tout aimé de la chanson, de la musique, de l'opéra. La musique élististe n'existe pas. Il n'y a que de la musique.
Je peux donc passer d'un opéra " Parzifal" à une symphonie, un requiem, une chanson de Johnny Hallyday, de Françoise Hardy, ou de Psy 4 de la rime, Sniper, avec la même émotion à écouter de la musique et des paroles.
Seuls le Métal, le Hard Rock, ne m'auront pas appelée.
Remariés, ils sont... mariés ils sont.
Que l'on ait 6 ou 66 ans, ils sont,
ils sont l'éternelle présence, ensemble,
que rien ni personne ne détruit quand je tremble
dans la mémoire de l'enfance meutrie,
dans la mémoire adulte si vive,
l'éternelle présence, ensemble.
Ensemble.
Ne plus mourir de l'éternelle absence,
après l'éternelle présence,
ne plus courir après le temps,
ne plus penser l'après de ses parents,
qui s'est fait encre de l'éternel amour.
Ensemble, eux et moi pour cet amour.
Eux et moi ensemble.
Ensemble.
Rayer tout l'après et l'immonde,
tirer un trait sur le futur-passé qui fut leur monde,
et voir le baiser de l'absence
comme une éternelle présence
que l'enfance adulte a tant manqué.
Manqué et pleuré.
Blessé (e) mortellement mais du temps ivre !
à ne pas savoir comment vivre,
à ne pas savoir être la cassure du nom,
sans nom ni prénom,
mais la vie ancrée au coeur
de l'invisible présence en une fleur.
Ne plus mourir de l'éternelle absence,
ne plus courir après le temps défunt et sa sentence,
après l'éternelle absence
dans leur éternelle présence
qui s'est fait encre de l'éternel amour.
Ô éternelle présence, éternel amour.
Chant des Journées Mondiales de la Jeunesse 1997
Track n°12 from the CD : "Symphonia - L'émotion classique" I Believe "Je Crois" (Chant des Journées Mondiales de la Jeunesse) (Eric Levi - Arr. Yvan Cassar) PolyGram Editions ℗ 1997 Deutsche Grammophon GmbH, Hamburg Avec l'aimable autorisation de Polydor, un label PolyGram