Lorsqu'un homme (inconnu ou Guide ou Initié ) tait son identité et ne fait que laisser des suggestions sans rien confirmer ni infirmer, qu'allez-vous chercher qui il est, qui il fut ? Si il n'a pas voulu le dire, la raison en est que cela en aurait profané son être car au lieu de regarder ce qu'il fait, ce sont ses vies passées qui seraient scrutées, et un homme d'aujourd'hui n'est pas ni plus celui d'hier. Cela n'a aucune importance sauf si il le confirme lui-même pour que nul doute ne s'infiltre. S'il a voulu le silence, nous devons le respecter. Mais nous voyons à la place un acharnement à vouloir savoir sans respecter la volonté d'un tel homme qui est le seul, spirituellement, à pouvoir nous autoriser à chercher dans ses vies passées.
Exemple : pourquoi chercher physiquement en ses vies C.R.C puisque lui-même fait tout pour que nous ignorions où il est, vit, décide ? Quelles traces suivez-vous ? Là tous les cent ans, ici bas et ici haut simultanément, le seul don réel d'ubiquité de l'homme esprit incarné...
C'est extraordinaire de chercher à savoir qui fut qui ou quoi sans avoir trouvé ce que le chercheur lui-même est et fut dans ses vies antérieures. Un peu d'humilité serait convenable. Non ?
N'est-ce pas là du voyeurisme plutôt qu'un réel acte de connaissance ? Un outrage à l'Entité ?
Si rien ne nous est donné, alors passons avec humilité.
A défaut, nous introduirions dans le monde spirituel des mensonges sur lesquels le sens du commun tombera et prendra pour acquis, validant ainsi une erreur que beaucoup prendront pour vraie. Le devoir de Connaissance a ses limites que la raison et la sagesse connaissent dans la décence et l'humilite, la morale et sa soeur l'Amour.
Une destinée est un temple que nous n'avons pas le droit de profaner par la curiosité ou le seul désir de savoir. Le faire est une atteinte à sa liberté, à son libre-arbitre.
Nous devons absolument ne pas subir la tentation de vouloir fouiller en une vie qui ne nous appartient pas.
J'ai entendu tant d'aberrations sur des vies et des noms supposés, validés, au point que plus rien ne peut les défaire :
1/ " Il ne l'a pas dit mais nous savons." Ah ! Il ne leur a pas dit mais ils savent ! Oh ! cher Ahri .. Quelle perfidie !
2/ " Tu n'aurais pas été, par hasard (! ) untel ?" et à l'autre, heureux d'entendre de tels propos, de valider ce qui n'a pas été vérifié. L'autre a seulement vu un crâne rasé qui lui a fait penser que l'autre a forcément été untel. Vives les crânes rasés ! C'est juste M. Orgueil qui a fonctionné à merveille. Luci et Ahri d'un commun accord.
3/ " Mais pourquoi ne pas le dire si tu le sais ? Se taire est un manquement à la vie de l'esprit ! " Lucifer vs Ahri à l'oeuvre ! le beau combat !
Stupéfiant d'irréalisme. Un sentiment de vérité n'est pas de la clairvoyance. Coucou Luci ! Encore Toi !
Apprenons d'abord à nous connaître ! Et, je jure que c'est un acte très diificile.
BLJ
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Antonio_del_Pollaiolo_-_Ercole_e_l%27Idra_e_Ercole_e_Anteo_-_Google_Art_Project.jpg?uselang=fr
Là où tout est facile, il n'y a aucun intérêt à relever et nul n'append rien de la facilité. Je plains la facilité qui n'est que stérilité et vide.
La facilité engendre l'orgueil et encore l'ignorance, davantage encore : l'absence de regard en l'humanité et la mort de soi en sa propre humanité.
L'homme vidé de sa substance d'humanité engendre, façonne et adore le mal quand bien même il nous parle du bien et fait leçon à son prochan qu'en réalité il ignore.
La facilité engendre le loup.
BLJ
J’ai allumé trois bougies pour la misère,
aussi allumées pour la plus belle des fleurs
que la vie féconde, pour elle, en sa chaleur,
aux secrets, en mon cœur, tus, du Mouzon sa rivière.
J’ai allumé trois flammes pour l’accompagner,
pour trois jours de retrouvailles avec la Source
qu’elle peut contempler à cette heure douce,
dans l’infini Amour qui la reçoit bien-née.
J’ai allumé trois lumières, offert trois clartés,
dans la prière que la foi en l’autre a bercé ;
Deux jours pleins, bientôt trois nuits a prié,
pour les secrets confiés que la mort a libéré.
J’ai animé trois belles espérances que le Verbe envole
pour sa vie prochaine que l’Ange façonne déjà de vie,
trois saintes paroles en les divines Hiérarchies,
et elle est là, devant moi, moi l’humble parole.
Tableau fait avec mon petit-fils
Photos personnelles non libres de droits
Dédié à ma fille Sophie luttant pour le bien être équin et félin et tous les acteurs luttant contre la souffrance animale, aussi à Odile Jannucci luttant pour le bien être félin.
Conscience est souffrance et souffrance est combat engendré.
Quand, partout, souffre le règne animal,
maltraité, flagellé, assassiné,
c’est nous qui en lui mourrons affamés,
indigent, misérable, corrompu et infernal.
Et, j’ai mal à leurs âmes, ici-bas, ici-haut,
et encore mal à leurs regards malheureux,
davantage encore quand ils me regardent honteux,
demandant conscience à nos cinq sceaux.
À leurs larmes invisibles le plus souvent,
pourtant leurs yeux de chagrin et d’angoisse
qu’ils montrent de tant d’effroi en leur paroisse,
que ne prenons-nous en soi leur vivant ?
Lors de leurs cris et leurs silences qui me tuent
quand anéantis de souffrances par nos actes,
c’est à toutes les douleurs du monde qu’insomniaque
je deviens, triste et accablée, souffrant leur ciguë.
Tel un ouragan d’émotions qu’ils ne savent dire,
affaissés sur leurs membres signant l’horizon,
je vois leur détresse en conscience pour cette prison
tant mon âme est meurtrie en leur empire.
Et, conscience qui n’a pas de vraie conscience
pleure sur le destin de mon frère animal
quand élevée de cœur, je vois l’oiseau virginal,
et ses semblables rampant ou à quatre pattes de confiance.
Quand verrons-nous se lever la fidélité à leur loyauté,
ces sacrifiés s’offrant avec dévotion,
au genre humain sans vergogne, et avec passion,
que la terre reçoit de tant de larmes animales blessées ?
https://www.bernardgaleron.com/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_d%C3%A9livrant_Ang%C3%A9lique
Cette ombre rampante, l’avez-vous vue ?
Large et vaste, cernant vos libertés nues
qui n’ont rien demandé en privation lourde,
pourtant acceptée pour une pensée sourde.
Qu’avez-vous craint de pertes pour ce choix
qui n’a rien nourri ni abreuvé dans vos peu de foi,
rien offert des attentes espérées en la vérité,
et voilà votre jour qui s’éteint sans charité.
Auriez-vous vu un serpent glisser sous vos reins,
que vous auriez été pis effrayé en son sein ;
mais invisible, sans dire son nom néfaste,
votre sens de la majesté, il a piqué faste.
Vous n’avez rien vu, moins compris, et triste
êtes-vous, étouffant votre repentir autiste,
ayant tout perdu de votre identité pour un verre
qui vide plie chacun dans l'affolement offert.
Avez-vous pensé que votre corps était seul habit,
et que votre esprit a hurlé ce qui jaillit endormi ?
L’âme assoupie a pleuré, étant reniée à son tour,
chevauchant l’amertume des avenirs déjà lourds ?
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Pesant le poids de la dette que rachèteront les doux,
Ployez face à chaque être de prudence pour ce coût,
car la terre n’est pas ce monde mort, un être figé,
que vous aurez puni pour un venin cupide arrosé.
Arild Rosenkrantz
https://galerie-drylewicz.com/artists/46-arild-rosenkrantz/
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