Béatrice Lukomski-Joly


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Conscientiser

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Conscientiser est un acte menant vers la conscience. Jusque là tout n'est que logique dans la vérité. L'état de conscience n'est pas un acte instantané dans sa globalité, il ne s'éveille qu'après plusieurs épisodes de conscientisation. C'est alors que dans la naissance de sa globalité, la conscience s'éveille et devient une réalité intérieure, extérieure, oeuvrant en le jeune clairvoyant ou/et l'initié qui la possède.

La Conscience est tissée d'une multitude d'actes de conscience conscientisés, c'est en cela que nul ne peut affirmer qu'il sait si il n'a pas mis et frotté sa vérité en l'acte de conscientiser ce qu'il suppose savoir dans la rencontre avec lui-même, si il accepte de se réfléchir en son miroir qui n'est pas lui et lui ressemble en son image.

La conscience demande que nous apprenions à faire parler l'image, de soi ou d'un objet ou d'un fait, réfléchie.

BL

La sphère sublime de la conscience

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Nous devons donner le droit à celui qui parle et/ou pense mal de vous, ( pendant qu'à ses propos et ses pensées vous conservez le silence pour ne rien  envenimer chez lui et non en vous ), car nous ne pouvons pas changer en l'autre ce qui n'a pas atteint la sphère sublime de la conscience. Tant que cette sphère de la conscience n'a pas été illuminée d'un souffle, aussi minime soit-il, éclairé par sa lumière, vous ne pouvez alors pas transformer une situation car le souffle est  lumière.

Votre liberté consiste dans ce droit donné du médire à vous retirer pour que le médire ne devienne pas en l'autre un monstre de la pensée erronnée qu'il a créé. Il ne demandera qu'à être alimenté en de semblables attitudes par celui qui crée une situation qu'il a voulu, volontairement ou subconsciemment, d'où votre libre-arbitre à exercer pour ne pas nourrir le monstre.

Pour cela, il vous faut toujours avoir conscience que l'homme a une perception  si haute de lui, qu'il en arrive à détruire ce qu'il touche même d'un regard. La sentence delphique du " Connais-toi toi-même et tu connaîtras les Dieux" n'appartient à l'heure actuelle qu'à un tout petit nombre, car pour connaître qui est soi, il faut d'abord connaître le monde spirituel ayant oeuvré à la création, donc Soi. L'humilité de l'homme trouve son écho en cette sentence.  Tant que cette humilité ne sera pas et laissera sa place à l'orgueil du petit soi , le monde passera à côté de lui. 

Il est malheureux et dommageable qu'une partie de la sentence  " Connais-toi toi-même et tu connaîtras les Dieux" ait été amputée de sa vérité contenue en sa seconde partie, reléguant ainsi l'homme à sa seule dimension d'âme, niant son esprit.

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Être poète

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Il y a une conscience dans l'existence du poème et de son acteur élu.

Voyez Dante ! Voyez Goethe ! Voyez Homère ! Ils sont des pensées que l'émotion a laissé à la clarté.

Cet infini qui dépasse la Conscience est inscrite au fronton des Temps qui ne s'efface pas. Le poète et son Génie le sait.

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L'art est une obsession pensée.

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L'art pur de la beauté est une obsession pensée. Il habite les trois âmes. Il est le témoignage trinitaire en l'esprit.

Dans sa forme secondaire, il est l'expression du chemin de croix agissant dans la douleur pour la pierre rédimée si il est sculpteur, pour l'écriture sacrée si il est poème ou peinture, pour le chant si il est voix, pour le pied dansant foulant la terre, pour la corde également rédimée engendrant le son de la musique des sphères.

Dans sa forme primaire, il est le créateur, Dieu visible.

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Vigilance dans l'écriture

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Lorsque nous écrivons et publions, il nous faut être vigilant quant au choix des mots, car l'écriture peut se révéler contraire à notre pensée si nous n'y prenons garde. Il nous faut toujours avoir un relecteur impartial veillant au sens donné, car deux possibilités s'offrent, 

1/ celle d'avoir négligé notre relation au mot et l'avoir écrit partiellement endormi, laissant la place à son contraire ; c'est alors la chute du texte dans les ténèbres et

2/ de nous être laissés envahir par notre astralité qui n'a pas pensé sa finalité en l'esprit.

J'ai un veilleur d'âme dans l'écriture : Pascal Renard. Qu'il trouve ici toute ma gratitude, car je n'aurais jamais voulu faire atteinte à la science spirituelle -Anthroposophie- en la dénaturant par un manque de vigilance puisqu'elle est en mes coeur et esprit et mon coeur en mouvement. Mes textes sont en conséquence minutieusement scrutés pour que ténèbres ne remplacent pas la Lumière, d "Âmes amères " en passant par " Le Génie ", " Poèmes solaires, poèmes lunaires ", " Le sentier " et " Lumière et ténèbres ". Ainsi pour ce qui est en cours d'écriture.

Pascal ? Compositeur, et 46 ans ( septembre 1974, nous avions 16 ans ) de complicité  et de partages en l'Esprit.

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