Peinture Waldorf
Pourquoi fait-il froid,
dehors, dedans ?
Pleut-il dans les cœurs
que gel vient ?
Pourquoi tant de mal
dedans, dehors ?
Sont-ce les gens ici,
où bien là-bas ?
Pourquoi haïssez-vous
l’un et l’autre,
ces différences
que vous n’aimez pas ?
Qui est au-dessus
des uns, des autres?
Vous ? Croyez-vous!
Pourquoi haïssez-vous ?
Pourquoi jeter la pierre,
vous que nul ne condamne ;
Qui est sans fautes ?
Vous ? Un pays?
Tous chargés, têtus
comme baudet.
Qui êtes-vous
pour renier chacun et tout ?
Pourquoi tant de mal
dedans, dehors ?
Sont-ce les gens ici,
où bien là-bas ?
Photo libre de droits issues du site
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Auto-portrait de jeunesse - pastel sec - quelques traits, beaucoup de blanc, peu de couleurs
je n'ai utilisé que quatre teintes
Assise sur une marche
dans mon escalier, mon arche,
je visite le passé, assise sur une marche,
assise, c’est tout ! C’est rien !
Un peu de vide ; un peu de plein,
des images, des rêves, des vœux,
rien qu’une envie d’être à vos yeux
dans ce manque d’amour en pleurs,
assise sur une marche sans couleurs.
Assise sur une marche
dans mon escalier déserté ;
Assise sur une marche
dans ma vie achevée ;
je vole vers un nuage au levant,
fou de pluie porté par le vent.
Assise sur une marche dans l’eau,
dans la maison aux volets clos,
je revois mes murs de sanglots,
assise, c’est tout ! C’est rien !
un peu de vide, un peu de plein,
des chansons, quelques tendres,
pour renaître d’une cendre
dans ce manque d’amour,
assise sur une marche dans la cour.
Assise sur une marche
dans mon escalier déserté ;
Assise sur une marche
dans ma vie achevée ;
je vole vers un nuage au levant,
fou de pluie porté par le vent.
Assise encore, couchée aussi,
dans l’escalier de chêne, en chien assis,
je voyage dans une plaine de soucis ;
assise, c’est tout ; Oui, c’est tout !
Tellement de vide que c’en est tout,
Sylvie et Jean* fragiles en mes yeux,
rien qu’un espoir ; c’est tout ! Un vœu,
assise sur une marche tel un aveu.
Assise sur une marche
dans mon escalier déserté ;
Assise sur une marche
dans ma vie achevée ;
je vole vers un nuage au levant,
fou de pluie porté par le vent.
Sylvie et Jean* : Clin d'oeil à deux personnes parmi d'autres qui m'ont aidée sans le savoir quand "assise sur une marche" Sylvie Vartan et Jean Renard compositeur
#sylvievartan #jeanrenard
Compositeur : Jean Renard
Parolier : Pierre Delanoë
Dans tous éducateurs existe le syndrôme du sauveur, Le syndrôme du sauveur est devenu un métier.
Un syndrôme est un ensemble de signes témoignant d'un trouble déplacé s'appuyant sur une autorisation dite bienveillante pour s'autoriser à être maltraitant.
C'est un drame en soi et souvent je pense à victor Hugo qui, en notre époque, aurait pris plaisir à écrire des romans sur nos faits de société maltraitants, de ceux qui n'existaient pas de son temps.
BL
Nul ne peut être satisfait de la mort d'un être qui aura perverti toute une vie parce qu'il était doté d'un sentiment unique de haine, visible, audible, fait avéré, car c'est prouver que la satisfaction est identique à la haine de celui qui la démontrait. Les deux sont similaires. Les deux sont des persécuteurs.
BL
Connaissez-vous le comble du maltraitant ?
C'est celui d'affirmer face à ses victimes et à qui veut l'entendre en presque pleurant qu'il est la victime de sa -ses- victimes.
Il ose le pire de l'indécence. Assassin est-il.
BL