Béatrice Lukomski-Joly


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Il m'arrive de me relever la nuit lorsqu'une pensée me réveille pour que je l'écrive quelqu'en soit l'heure.

Il n'y a rien dans mes pensées du jour ou de la nuit que je n'ai pensé par moi-même, sans rien piller, jamais, dans la mesure ou je les ai éprouvées moi-même.

Parfois, souvent, elles sont  des pensées maturées suite à de nombreuses lectures expérimentées.

Il arrive fréquemment que je les complète après les avoir repensées, m'apercevant que je les ai amputées d'une part essentielle ; en cela elles ne sont jamais figées mais mobiles dans le temps.

Il m'arrive très fréquemment de lire un texte de Pensée, de m'arrêter en cours de lecture pour penser ( ou méditer ) ce que je viens de lire et de m'apercevoir que la lecture reprise m'apporte exactement ce que j'ai pensé / trouvé. 

Béatrice Lukomski-Joly - © 2021

Etincelle

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Il suffit d'une étincelle de conscience à n'importe quel moment de la vie pour déclencher tout un processus qui se réalisera dans l'avenir. Ces étincelles sont des plans des dieux venus de l'avenir disant : " Enfin ! l'heure est venue ! "

BLJ

Cause du malheur ou raison de l'avenir

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Le plus souvent, les gens se demandent lorsqu'un malheur les atteint " Mais, qu'ai-je donc fait pour mériter cela ? "

Jamais, ils ne se demandent " Que dois-je apprendre de ce malheur ? "

Et, pourtant, chacun se pose la question "Qu'ai-je donc fait pour mériter cela ? " même les athéistes les plus endurcis, ce qui est en soi une preuve de l'existence du karma choisi avant de naître. L'athéisme est donc une illusion. L'innatalité et l'immortalité sont en conséquence des vérités.

BLJ

Poème et conscience

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Un poème, c'est toujours une pensée fondamentale qui veut atteindre les consciences quand il s'agit de poèmes et non de poésies. Le poème est un état de conscience, une pensée égoexcentrée de soi vers le monde venu à Soi ; la poésie, non ! elle est un divertissement, une pensée égocentrée :  soi vers soi.

BLJ

Disciples

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Il n'y a pire disciple que celui qui prend la place du maître afin de se glorifier et avoir foule de disciples, relèguant le maître au second plan. Vous les trouvez partout dans le monde et dans toutes les disciplines et écoles de pensées.

Les écrivains sont le plus souvent leur statut que le poète accuse, car il y a un abîme entre un écrivain et un poète. Le poète peut être écrivain mais il témoigne du maître, jamais ne prend sa place, car il est de par sa nature d'abord poète.

C'est la différence entre un écrivain et un poète.

Comme leur orgueil est grand !

Comme le mal fait est immense !

Le maître se témoigne ; nul ne le remplace.

C'est la forme d'un meurtre. Tout est compté.

BLJ

Savoir et avoir conscience des faits historiques et contemporains

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Nos générations à part quelques rares personnes n'ont pas conscience de ce qui s'est passé du temps des nazis  ( par exemple et pour prendre  un des pires faits de l'histoire ) ; ils le savent mais n'en ont pas conscience.

La conscience empêche que tout revienne car la conscience combat.

Celui qui ne fait que savoir ne combat pas, il laisse faire.

Je voudrais qu'il y ait davantage de consciences qui s'éveillent.

BLJ

" Les mystères" de Goethe

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Que vous semble-t-il mystérieux dans "les Mystères " ?

Tout y est limpide comme le cristal ; aussi pur qu'un diamant. Plus pur que le diamant est le soleil....

Que vous semble-t-il inachevé ?  Ce poème est achevé. Et s'il vous semble inachevé, je peux l'achever pour vous , pour lui. N'y voyez pas d'orgueil ; c'est simplement ainsi.

Mais, s'il vous semble encore et toujours mysterieux, alors je ne lèverai pas le voile car je l'achèverai de la même façon, voilant le propos.

La Source étant identique, le voile est facile à lever, mais prudence, vous pourriez tomber, et perdre la raison si autre que vous le faisait pour vous.

Ah ! mon frère  dans l'encre, la plume et la pensée ! BLJ

Allons le relire

" Le Matin parut, et ses pas chassèrent le doux sommeil qui m’enveloppait mollement ; je me réveillai, et quittai ma paisible demeure ; je me dirigeai vers la montagne, le cœur tout rajeuni. À chaque pas, des fleurs brillantes, penchant la tête sous la rosée, venaient réjouir mes regards ; le jour nouveau s’emparait du monde avec transport, et tout se ranimait pour ranimer mon âme.

Et, comme je montais, un brouillard se détacha de la surface du fleuve, de la prairie, et s’y répandit en bandes grisâtres. Bientôt il s’éleva, s’épaissit, et voltigea autour de moi. Là disparut la belle perspective qui me ravissait : un voile sombre enveloppa la contrée, et j’étais comme enseveli dans les nuages, comme isolé dans le crépuscule.

Tout à coup, le soleil sembla percer la nue : un doux rayon la divisa et se répandit bientôt, victorieux, autour des bois et des collines. Avec quel plaisir je saluai le retour du soleil ; il me semblait plus beau après avoir été obscurci, et son triomphe n’était pas accompli encore, que déjà j’étais tout ébloui de sa gloire.

Une puissance secrète rendit la force à mon âme, et je rouvris les yeux ; mais ce ne put être qu’un regard furtif, car le monde ne me paraissait plus que flamme et qu’éclat ; puis une figure divine voltigeait devant moi parmi les nuages… Jamais je n’ai vu de traits plus gracieux. Elle me regarda et s’arrêta, mollement balancée par la brise.

« Ne me reconnais-tu pas ? dit-elle avec une voix pleine d’intérêt et de confiance ; ne me reconnaîs-tu pas, moi qui répandis tant de fois un baume céleste sur les blessures de ton âme ; moi qui me suis attaché ton cœur par d’éternels liens, que je resserrais toujours et toujours ? Ne t’ai-je pas vu répandre bien des larmes d’amour, lorsque, tout enfant encore, tu me poursuivais avec tant de zèle ?

— Oui, m’écriai-je tombant de joie à ses pieds, que de fois j’ai ressenti tes bienfaits ! Tu m’as accordé souvent la consolation et le repos, quand toutes les passions de la jeunesse se disputaient mon corps et ma vie ! Que de fois, dans cette saison dévorante, tu as rafraîchi mon front de ton souffle divin, tu m’as comblé des dons les plus précieux, et c’est de toi que j’attends encore tout mon bonheur.

« Je ne te nomme pas, car je t’entends nommer par bien d’autres qui te disent à eux ; tous les regards se dirigent vers toi, mais ton éclat fait baisser presque tous les yeux. Hélas ! quand je m’égarais aussi, j’avais bien des rivaux ; depuis que je te connais, je suis presque seul. Mais il faut que je me félicite en moi-même d’un tel bonheur, et que je renferme avec soin la lumière dont tu m’as éclairé. »

Elle sourit et dit : « Tu vois comme il est nécessaire que je ne me dévoile aux hommes qu’avec prudence ; toi-même, à peine es-tu capable d’échapper à la plus grossière illusion ; à peine deviens-tu maître de tes premières volontés, que tu te crois aussitôt plus qu’un mortel, et que tu te révoltes contre les devoirs d’homme ! Pourquoi donc te distingues-tu des autres ? Connais-toi ; et tu vivras en paix avec le monde.

— Pardonne, m’écriai-je, je reconnais ma faute. Pourquoi aurais-je en vain les yeux ouverts ? Une volonté franche anime tout mon être, je reconnais enfin tout le prix de tes dons ; désormais je veux être utile à mes semblables, en n’ensevelissant pas la source où j’ai puisé : pourquoi donc aurais-je frayé des sentiers nouveaux, si je ne devais pas les indiquer à mes frères ? »

Et je parlais encore, quand la déesse me jeta un regard de compassion ; je cherchais à y lire ce qu’il y avait eu dans mes paroles d’erreur ou de vanité : elle sourit, et je me rassurai ; un nouvel espoir monta vers mon cœur, et je pus m’approcher d’elle avec plus de confiance, afin de la contempler mieux.

Elle étendit la main à travers les nuages légers et la vapeur qui l’entouraient, et ce qui restait de brouillard acheva de se dissiper ; mes yeux purent de nouveau pénétrer dans la vallée, le ciel était pur… La divine apparition se balançait seule dans les airs, et son voile transparent s’y déroulait en mille plis.

« Je te connais, je connais tes faiblesses, je sais aussi tout ce qu’il y a de bon en toi. » Telles furent ses paroles, qu’il me semblera toujours entendre. « Écoute maintenant ce que j’ai à te dire ; il ne faut point t’enorgueillir de mes dons, mais les recevoir avec une âme calme : comme le soleil dissipe les brouillards du matin, ainsi la seule vérité peut arracher le voile qui couvre la beauté des muses.

« Et ne le jetez au vent, toi et tes amis, que pendant la chaleur du jour ; alors, la brise du soir vous apportera le frais et le parfum des fleurs, alors s’apaisera le vent des passions humaines ; des nuages légers rafraîchiront les airs, le jour sera doux, et la nuit sera pure. »

Venez vers moi, amis, quand le fardeau de la vie vous semblera trop lourd ; et la prospérité répandra sur vous ses fleurs brillantes et ses fruits d’or ; et nous marcherons réunis vers un nouveau jour ; ainsi le bonheur accompagnera notre vie et notre voyage, et, quand il nous faudra finir, nos derniers neveux, tout en pleurant notre perte, jouiront encore des fruits de notre amour."

Lire Goethe

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Dites-moi  ! Si il n'y avait pas eu Rudolf Steiner pour  expliquer la pensée et la poésie de Goethe que les  matérialistes ont abîmé, que peu lisent aujourd'hui , auriez-vous lu Goethe ?

Il en est de même pour  Schiller, Novalis, la poésie intégrale d'Hugo, et tant d'autres. Si R Steiner ne les avait pas  mis en gloire au faîte de leur art dans leur initiation, les auriez-vous lus ? Les auriez-vous compris ?

Soyons franc ! Qui a lu Goethe ?  Levez le doigt ! 

Je le lève. La rencontre avec l'écriture et la pensée de Goethe, entr'autre fut pour moi avant la rencontre avec R Steiner. 

BLJ

BL

Chers lecteurs aimant ma plume

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Chers lecteurs aimant ma plume et venant me lire, peut-être étonnés que je publie moins en ce blog, sachez que mon septième livre m'a pris beaucoup de temps et que je suis  actuellement en train de peaufiner le huitième qui, je l'espère, sortira pour Noël. Puis, tel je l'ai dit, ici, il y a quelques mois, je suis revenue à l'écriture sur papier, devant ensuite retranscrire sur mon ordinateur,  ce que je fais lorsque je le décide, parfois des semaines voire des mois après.

Les statisiques de lecture sont stables et oscillent entre 100 et 600 par jour ce qui me comble quand bien même, je comprends, lire sur un blog n'engage pas vers un achat. Vous êtes là et cela reste "incroyable". Nous vivons un temps où le livre en tant qu'objet disparait allant vers la préférence du virtuel. Les nombreuses boîtes à livres dans les villes en témoignent. Merci à vous cependant d'être là à me lire, car une statistique enregistrée est la statistique de quelqu'un qui a lu, non pas de quelqu'un qui a cliqué et est parti sans lire. Le temps est compté et s'affiche sur mon écran pour chaque lecture.

Chacun de mes livres faisant 300 pages en moyenne, cela me prend beaucoup de temps dans tous les domaines puisque je suis devenue mes propres éditeur et publisciste, ayant constaté que les éditeurs ne font aucune publicité pour leurs auteurs moins connus, nous éditant réellement à compte-d'auteur sous le couvert du compte-d'éditeur, belle illusion relevant du mensonge et de la honte. A nous de tout faire, aussi est-ce mieux de s'auto-éditer en globalité afin de ne pas alimenter ceux qui s'enrichissent sur nos dos. Je suis donc revenue à mes premiers amours en cette époque fallacieuse après m'en être entretenu avec d'autres auteurs.

BLJ

Des grimoires, effacé !

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Vous qui cherchez votre nom en espérant - ici - le trouver, sachez que tout nom s'efface dès lors qu'il ne porte pas en lui la bienveillance. Que trace se laisse lors d'un passage signe la malveillance. Tant de méchanceté et de haine ne sont pas des gages de bienséance ni de santé morale.

BLJ

Le fruit mûr

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Etrange est l'instant où nous nous sentons poussés à achever quelque chose que nous avions commencé il y a longtemps et cru achevé sans qu'il ne le soit. La vie offre du temps pour que nous regardions si le fruit que nous avons mûri est bien ce qu'il devait être.

BLJ

L'harmonie ou dysharmonie du mot.

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Que nos regards  convergent  vers le même sens et c'est une harmonie.

Qu'ils s'opposent et c'est une dysharmonie.

Ainsi est la pensée : une sphère musicale que nous créons opéra et symphonie, ou  métal  et hard rock.

Rien que dans le son des mots ou la note, nous percevons si le mot attribué incarne la paix ou la violence.

BLJ

L'harmonie, la perfection

hr-Sinfonieorchester – Frankfurt Radio Symphony

Richard Wagner: Parsifal – Vorspiel ∙ hr-Sinfonieorchester – Frankfurt Radio Symphony Orchestra ∙ Andrés Orozco-Estrada, Dirigent ∙ Rheingau Musik Festival 2015 ∙ Eröffnungskonzert ∙ Kloster Eberbach, 28. Juni 2015 ∙

Vivre encore

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Photo libre de droits

Vivre encore quelques temps sur terre parce qu’elle est ma gouvernante, ma maîtresse, mon oracle, elle, si belle, si glorieuse, malgré ses blessures nombreuses, son sang baignant mes pieds de sa sève, même morte, aussi de défauts, de richesses et de faiblesses, car elle mon guide.

Même si le diable s’incarne, se brûlant les pieds sur le sol divin, car point il ne peut supporter marcher sur l’argile et le loess, car point il ne peut courir les prés et les monts, toujours je me blottirai là loin de ses griffes, car, là, il ne peut aller. Montrerait-il le ciel couvert de sa suie pour effacer la lumière qui est nôtre, que la suie est la vision de la laideur qu’il montre.

Je me coucherai dans l’herbe à son heure venue, déjà arrivée, pour que les étoiles en mon âme brillent et aient pitié de nous, lors de mes larmes pour le monde.

Vivre encore sur terre, même triste, même joyeuse, pour être, et servir le Graal en sa demeure.

 

Je veux. Petit poème en prose.

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Je veux des roses, autant que mes bras peuvent en contenir, autant que mon cœur peut en épouser ; puis d’un bouquet aussi large qu’il y a d’hommes sur terre, en révéler sept sur mes bras, ma poitrine, ma tête coiffée d’un voile.

Je veux des branches autant que mes doigts peuvent les aimer puis de trois choisies aussi belles qu’il y a de gens de foi encore , portés sur les épaules comme en l’an de nos douleurs.

Je veux boire de l’eau à la fontaine, autant qu’elle aura rempli de jarres à mes noces que vin n’aura pas transformée pour tant de vies bues jusqu’à la lie et la révéler source aux hommes d’esprit faible.

Je veux manger le grain sur les épis et proches des épines, aussi la fleur d’aubépine, accompagnée des lors des oiseaux pour unique pain germé et levé afin que les hommes croissent en sagesse, et plus jamais ne trier l’ivraie d’entre les grains qui sera devenue rose.

Je veux de toutes les pierres sculpter les tombeaux, et de leurs pierres rouler l’évidence au jour des jugements derniers pour que les hommes soient nus de toute fausseté et découvrir qu’ils ont appris à aimer.

Je veux être du soleil l’ami, le frère, l’époux, la sœur, et l’épouse, pour qu’en tous il croisse, le rayon devenu vie, le baiser déposé sur nos bouches créant avec le verbe la splendeur de l’humanité.

 

https://blog.grainedephotographe.com/la-serie-feerique-nabi-par-le-photographe-lee-jeong-lok/

L'étincelle de l'Amour

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Je me suis souvent demandé et me demande encore comment l'homme ( l'être humain ) confond l'amour en n'aimant que ce qui le touche personnellement et se positionne dans la haine ou le désavoeu de tout ce qu'ils n'apprécient pas (des gens comme des idées ou des concepts, etc. ), et par là refusent l'Amour qui tout englobe, tout enrobe et en tout agit. En cela je l'écris avec ou sans "a" majuscule.

Exemples :

1 / aimer son enfant semble juste et aimer une personne différente de soi s'avère être une impossibilité. 

2 / une  idée différente qui n'est pas la nôtre devient : "je n'aime pas celui qui le dit".

Pourquoi l'étincelle de l'Amour n'enflamme -t-il pas l'amour du peu pour le plus grand ?

N'est-il pas temps que cette étincelle nous éclaire et enflamme le monde de la plus grande noblesse de coeur en l'esprit que nous sommes ?

BLJ

Sobriété et Amour

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Entre deux âmes rencontrées, je préfère celle qui fume une cigarette, boit un verre de bon vin sans être ivre et est pure de coeur en l'Esprit  plutôt que celle qui est sobre, jusqu'au végétarisme et ne possède rien de l'Amour en Soi.

"Dis-moi ce que tu manges" ne fait pas l'Humain, il ne fait que l'homme.

Sobriété physique et sobriété de l'âme sont deux chemins qui ne mènent pas au même endroit ; l'un est un combat dans la violence faite à soi-même si elle n'est pas une nature en soi, et l'autre n'a été conduit vers soi que par l'épreuve endurée, subie, et transformée.

BLJ

Haïr, c'est se priver de ...

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Haïr, c'est se priver volontairement de ce qu'il y a de plus noble et de plus beau en soi : l'Amour.

L'amour : N'en parlez plus avant de l'avoir démontré ; montrez le en vous pour le démontrer et il sera.

Rayonnez de noblesse et de beauté. Car le petit verbe que l'homme parle n'est pas le Verbe résonnant en soi son écho.

BLJ

Un ami Néerlandais m'a fait ce superbe cadeau, c'est à sire traduire cette phrase en plusieurs langues ; les voici :

Thorvald Dudok van Heel

🇧🇶 Haten is jezelf vrijwillig beroven van wat het edelste en mooiste in jezelf is: Liefde.

 🇩🇪Hassen bedeutet, dass man sich selbst absichtlich das Edelste und Schönste in sich selbst vorenthält: die Liebe. 🇬🇧To hate is to voluntarily deprive oneself of what is most noble and most beautiful in oneself: Love.

 🇷🇺Ненавидеть - значит добровольно лишать себя того, что является самым благородным и самым прекрасным в самом себе: Любви. 

🇷🇴A urî înseamnă a te priva în mod voluntar de ceea ce este mai nobil și mai frumos în tine însuți: iubirea.

 

Richard Wagner

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Je possède la version originale de "Parzifal" traduit par Judith Gauthier, fille de Théophile, et publié par la BNF fidèle à ce qu'il était en 1879.

Pour ceux qui peuvent lire sur écran et qu'un tel écrit intéresse, voici l'original :

à lire et relire sans modération avec ou sans la musique car il faut aussi se souvenir que si "Parzifal" a été écrit pour être mis en musique et scène d'opéra, il est un long et magnique poème.

Richard Wagner disait : " Plus personne ne sait écrire du poème. Le poème est mort. Je le révèle."

Nous pouvons rêver arriver à la hauteur de ses chevilles en tant que poète et je ne suis que sous son talon légé qu'il a laissé levé pour me relever, peut-être, en mon art. Nous commençons avec V Hugo en poésie, allons vers Goethe, Schiller, humanistes parmi les Humanistes, et nous réalisons avec la vie vieillissante, parce que rajeunissante, que le poème complet initié, Verbe et chant, Verbe et musique des sphères, c'est Richard Wagner.

BLJ

Les paroles de "Parzifal" : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k10577145/f37.item.zoom

Le chant de "Parzifal" 

Wagner - Parsifal Opera / Presentation + New Mastering (Century's rec. : Hans Knappertsbusch 1951)

Wilhelm Richard Wagner (1813-1883) - Parsifal : Ein Bühnenweihfestpiel /

A Sacred Festival Stage-play

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