Béatrice Lukomski-Joly


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Il m'arrive de me relever la nuit lorsqu'une pensée me réveille pour que je l'écrive quelqu'en soit l'heure.

Il n'y a rien dans mes pensées du jour ou de la nuit que je n'ai pensé par moi-même, sans rien piller, jamais, dans la mesure ou je les ai éprouvées moi-même.

Parfois, souvent, elles sont  des pensées maturées suite à de nombreuses lectures expérimentées.

Il arrive fréquemment que je les complète après les avoir repensées, m'apercevant que je les ai amputées d'une part essentielle ; en cela elles ne sont jamais figées mais mobiles dans le temps.

Il m'arrive très fréquemment de lire un texte de Pensée, de m'arrêter en cours de lecture pour penser ( ou méditer ) ce que je viens de lire et de m'apercevoir que la lecture reprise m'apporte exactement ce que j'ai pensé / trouvé. 

Béatrice Lukomski-Joly - © 2021

La facilité

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Là où tout est facile, il n'y a aucun intérêt à relever et nul n'append rien de la facilité. Je plains la facilité qui n'est que stérilité et vide.

La facilité engendre l'orgueil et encore l'ignorance, davantage encore : l'absence de regard en l'humanité et la mort de soi en sa propre humanité.

L'homme vidé de sa substance d'humanité engendre, façonne et adore le mal quand bien même il nous parle du bien et fait leçon à son prochan qu'en réalité il ignore.

La facilité engendre le loup.

BLJ

de JJ'immortalise Gilliane Caradec Magnifique !

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https://www.instagram.com/reel/C1Z-Ff8NCXU/?utm_source=ig_web_button_share_sheet&igsh=MDQwZDY1YmMyMg%3D%3D&fbclid=IwAR31zbHJqhG8VugWbHxo3wOyzxJn4-xKilf-E4HluY6VGyx4zBfjvUGHe30

 

Le format complet de la vidéo ne passe pas sur mon blog. Elle est signée  en bas de Gilliane Caradec JJ'immortalise.

Désolée pour cet inconvénient informatique sur lequel je n'ai, hélas, pas la main.

 

Question de conscience...

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Dans la clairvoyance et la clairaudience, il n'existe pas d'écrans informatiques ... ni de distance géographique. Il n'y a qu'un espace où tout se perçoit et davantage encore chaque fois que notre nom est prononcé qu'il soit dit ou écrit. S'il n'est que pensé, c'est lors de la nuit que nous l'entendons.

L'écran informatique donne une image animée de l'autre et rien ne fige, et sa pensée quand bien même est-elle cachée est un mouvement visible.

Dans la clairvoyance, le corps également ne cache jamais l'âme dans la perception de l'autre, il n'est que trop souvent un habit triste, sombre, si sombre, malgré ce que peuvent être ses formes et son visage.

Ne vous étonnez alors pas si un tel esprit s'éloigne de ce qu'il a vu de laideur et de désirs...

BLJ

le Verbe dans le son

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Portrait de Richard Wagner au pastel sec, propriété @ Béatrice Lukomski Copyright.

Photo non libre de droit

 

Méditant le Génie depuis plus de 40 ans, dont un livre publié du même titre en fut les prémices, j'en ai enfin trouvé le sens et la profondeur.

Définition wiki ou Larousse : "Un génie est une personne qui se démarque de façon exceptionnelle de ses contemporains par un talent hors du commun et/ou une habileté intellectuelle remarquable, voire une aptitude créatrice extraordinaire, notamment dans le domaine artistique."

Certes ! Vérité.
Mais davantage encore.
Le Génie, tel connu en sa définition" ne produit que ce qui descend à lui du monde spirituel de manière sacrée. Il n'est alors que l'exécutant exceptionnel du monde spirituel.

Le Génie est au-delà de cela , c'est à dire qu'outre recevoir et être la traduction artistique des sphères spirituelles, il est le témoignage de son individualité propre dans l'initiation aboutie : ainsi fut et est Richard Wagner, seul réel génie musical et poétique.

Car associant à la perfection la musique à la poésie, c'est à dire le Verbe dans le son et le son dans l'expression michaélique comme dans l'expression ahrimanienne. C'est l'harmonie parfaite de la représentation divine. En cela, nous sommes amenés à comprendre pourquoi certains ne supportent pas sa musique dans la mesure où en son Parsifal, le Christ côtoie Ahriman dans le son et nous les rend tous deux audibles.

Il a été le premier à dévoiler en musique, en son génie, le combat de toutes les forces divines pour aboutir le Graal. A cette heure, nul autre ne l'a fait.

BLJ

Portrait de Richard Wagner au pastel sec, propriété @ Béatrice Lukomski Copyright.

Photo non libre de droit

Le préfixe Ante ( avant ) n'est pas synonyme du préfixe Anti (contre) pour Anti-Christ et non Anté Christ

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Un préfixe qui m'a toujours beaucoup fâchée dans "Anté Christ" et que j'ai combattu de ma plume dans beaucoup de mes textes. Parfois la correction automatique m'impose  "Anté" que j'écris "Anti" et que le correcteur refuse en corrigeant avec anté, mais non !  peut-être en ai-je laissé passer. Honte à moi si cela fut le cas, par manque de vigilance dans ces traductions informatisées qui nous soumettent à leur volonté artificielle. .

Mais...

L'AntiChrist n'est pas l' anté Christ et ne le sera jamais.

Anté veut dire AVANT, comment alors la langue française s'est-elle donnée le droit péremptoire et mensonger d'imposer Anté Christ pour antiChrist alors que c'est AntiChrist pour définir l'ennemi du Christ qui n'était pas avant le Christ, ou Logos. Nous avons même supprimé la majsucule de Christ dans le mot ! Comment ? Quoi ? Comment avons-nous pu ? Et pu l'accepter , pu vivre avec ce mot tronqué ou plutôt en un dieu tronqué même par des penseurs spiritualiste ou traducteurs ?

Seule la langue française fait - j'ai envie de dire sciemment inconscient ou sciemment ordonné par ??? -cette monumentale erreur conduisant l'antiChrist avant le Logos. Toutes les autres langues écrivent bien antichrist pour Soradt - le diable - et ses légions. Quoi que toutes les autres langues ont aussi supprimé la majuscule de Christ sans s'en apercevoir ! La majuscule n'est pas un superflu, elle est  symbole pensée de la divinité, du Dieu créateur.

Mais aucune langue ne peut le déceler dans les traductions automatique écrivant bien Anti-Christ dans les traductions. Quant à ceux qui apprennent la langue française, leur dit-on que ANTE signifie  AVANT et non ANTI ?

Pour moi la solution est simple afin de corriger cette erreur belliqueuse en non existence du Logos Premier, Vie, Vérité et Chemin, c'est de non plus écrire anté  christ mais ANTI - CHRIST, avec un trait d'union pour que chacun y prête attention et rétablisse la Vérité.

Je suis lasse de lire Anté - au lieu d'Anti lorsque nous parlons de Soradt. Car c'est lui qui est invoqué dans Anté. Cela lui donne une "belle place" dans la langue française et les peuples francophones. Et nous comprenons mieux pourquoi R Steiner disait de la langue française qu'elle était déjà une langue morte tout comme le latin et le grec. Nous y avons contribué avec de telles transformations radicales de la langue avec un banal préfixe. Et nous nous étonnons que la France n'ait pas évolué ou si peu en Anthroposophie. Avec un tel préfixe dévoyé nous avons donné vie aux forces contraires. La politique, jusqu'à sa diplomatie et sa démagogie, en témoignent lorsque nous savons lire dans les évènements depuis que l'Anti a été transformé en Anté, c'est à dire depuis des siècles... Peu-être depuis Philippe le Bel et Clément V, je ne sais pas. Mais ce mot tronqué a la vie dure car établi , mais pour moi qui lutte contre cet anté, ce n'est pas irrémédiable si chacun, utilisant ce mot car il n'est que mot  attribut  et non Nom, en prenait conscience. OUI , CONSCIENCE.

Si nous avions conscience de ce qui est Anté - AVANT - nous parlerions et évoquerions le  Père et non de l'antiChrist en Soradt et ses cohortes . Car : "Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité."Evangile de Jean. A aucun moment il ne nous est dit que l'AntiChrist précède le Fils !!! Colère ! Or c'est ce que nous faisons chaque fois que nous disons anté Christ pour anti Christ parlant de Son ennemi majeur, ennemi de l'humanité.  Honte à nos entendements et nos consciences envers le Soi-Esprit. 

Se souvenir de ce qu'a dit R Steiner à propos de la langue et du mot : toute langue a son Esprit (Esprit de la langue ) et aussi CHAQUE MOT possède le sien propre ( Esprit du mot ). Faut-il être poète pour le percevoir et vérifier la parole de R Steiner ? Conscience de poète-spritualiste.

J'interpelle donc à nouveau. Et, j'aimerais voir la Vérité pour le Chemin et la Vie reprendre sa place avec Anti et non plus Anté.

 

Je ne suis qu'un petit poéte qui n'a rien voulu être sinon ÊTRE car JE SUIS. Entendez !

BLJ

Lorsque nous avons compris, perçu, pris en soi le début de l'Evangile de Saint Jean, nous ne pouvons plus dire ni écrire Avant le christ dans ante ( ou anté ) le Christ. EVANGILE DE JÉSUS-CHRIST SELON SAINT JEAN

01 AU COMMENCEMENT était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu.

02 Il était au commencement auprès de Dieu. 03 C’est par lui que tout est venu à l’existence, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui.

04 En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ;

05 la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.

06 Il y eut un homme envoyé par Dieu ; son nom était Jean.

07 Il est venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui.

08 Cet homme n’était pas la Lumière, mais il était là pour rendre témoignage à la Lumière.

09 Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde.

10 Il était dans le monde, et le monde était venu par lui à l’existence, mais le monde ne l’a pas reconnu.

11 Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas reçu. 12 Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu, eux qui croient en son nom.

13 Ils ne sont pas nés du sang, ni d’une volonté charnelle, ni d’une volonté d’homme : ils sont nés de Dieu.

14 Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité.

Connaissance et forces du coeur

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Il y a des gens farcis de connaissances et au grand hélas, sans une once de cœur fécondé. Ils nous parlent de la vie de l'Esprit comme ils nous parlent d'une recette de cuisine, incluant chaque détail ou ingrédient, mais jamais nous ne voyons leurs forces du cœur déployées car elles sont simplement inexistantes. Ils en parlent, savent en parler avec brio tel un rhéteur ou un sophiste, mais ignorent ce qu'elles sont.

Ceux-là se voilent la face en permanence laissant libre cours à Az et Ahriman en leur âme n'atteignant pas la hauteur de l'Esprit, laissant la dualité-une en eux sans atteindre la trinité.

BLJ

Règne animal, végétal, minéral et règne humain

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Il n'y a que le règne animal quand l'un de ses membres attaque un autre de ses membres qui ne déclenche pas une guerre contre une autre race animale : un chat contre un chien, un tigre contre une antilope.

Est-ce que de surcroît une âme animale, celle des oiseaux ou toutes autres par exemple, attaquent l'homme quand l'homme a tué un de ses membres ? Non.

Nous pouvons aussi penser ce fait pour les autres règnes de la terre : végétal et minéral.

Est-ce qu'une rose attaque une anémone voisine de ses racines parce qu'elle habite et peuple le même sol ? Non. Est-ce que le blé attaque l'orge et le tilleul, le chêne ? Non.

Est-ce qu'un rubis attaque une émeraude, ou un schiste une roche volcanique voisine ? Non.

Est-ce que la nuit attaque le jour et la lune le soleil ? Non.

Seul l'homme fait cela. L'homme déteste un de ses semblables pour ce qu'il est de culture, de pensée, d'identité différentes et il déclenche une guerre contre le monde - un pays contre un autre pays -

Le règne de la Nature est une sagesse en soi que l'homme doit contempler pour enfin comprendre ce qu'il est au monde : une absolue nécessité d'être la Liberté d'aimer sans combattre la différence.

L'homme n'est pas fécondé de conscience tant qu'il n'observe pas la Nature en ses règnes.

BLJ

La rose et le nuage sombre - poème en prose -

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Matin au bord du ruisseau de TC Steele 1893

https://www.wikiart.org/en/t-c-steele

Prenons soin de la rose qui, discrète,, aime entendre la musique du silence afin de mieux fleurir quand les épines qu'elle regarde n'appartiennent plus à sa tige que la tige fanée voisine convoite pour mieux fleurir dans le dessein des nuages ayant assombri son horizon.

Dans l'habit  clair de sa demeure où vit la clarté de l'air, foulant au pied sa terre, que deviendra-t-elle si la musique des sphères  ne parvenait plus à nos oreilles  quand tombent ses pétales sur lesquels s'assoie un corbeau noir ?

Lorsqu'elle chantera la beauté de son nom, donnant son prénom, quelle sagesse en sa sève donnera l'agir qui se voudra prompt à l'heure de sa floraison car, quand rose au jardin de lumière s'esquive, elle pleure ses petits qui sont de superbes boutons en devenir. L'air est sa cape blanche que caresse le rayon du soleil ayant la forme d'une épée brillante.

Laissons la forme  revêtir la beauté du silence, car du silence nait la cueillette des épines que la sombre nuit noire ne peut saisir.

La rose a besoin de calme, et lentement s'épanouit, quand la nuit la crée bleue, le symbole rougeoyant sur son épaule qu'est le calice en son pistil.  Abeilles ne butinent que si  le fruit de la fleur est mûr au crépuscule pour son levant.

Chante la  Rose  Calice.

BLJ

La juste place du bien

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J'ai passé plus de temps chaque jour et soir à observer mes épines pour en faire une rose , mes défauts pour les transformer en qualité

et mes roses ont soigné les malades, écouté les indigents, accompagné les prisonniers dans la beauté de leurs épines.

Tout mal est un bien qui n'est pas à sa place. (Rudolf Steiner) , c'est en cela qu'il nous faut regarder chaque jour, chaque soir, tout mal en soi afin de redonner la juste place au bien.

Plus l'homme se pense parfait farci de défauts et plus il s'éloigne de son Moi profond.

BLJ

Victime de l'illusion

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L'homme éduqué est stupéfiant d'erreurs et d'illusions.

En toutes choses, paroles, faits et gestes d'autrui, il croit reconnaître  Lucifer, Satan et mille démons, les pointant du doigt et lorsque ceux-ci leur chuchotent à leur propre oreille, il ne les reconnait pas.

Que  les Anges et autres Hiérarchies célestes viennent à leur murmurer leur propre chemin, ils disent  détester, ne pas supporter, en être leur prisonnier OU n'entendent simplement pas. 

Ils fouillent les destinées d'autres sans percevoir leur propre chemin.

Ils  scrutent autrui sans jamais se scruter ni poser un seul rai de lumière sur leurs ombres.

Ils sont incroyables de leçons données et insensés dans le fait d'être une victime de l'illusion qu'ils dénoncent.

Rares sont ceux rencontrés ayant dépoussiéré leurs pensées au quotidien ; ils sont trois.

BLJ

Conscience animale, Âme-Une et karma

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J'ai beaucoup médité sur la souffrance animale et médite encore... et aussi méditer sur la phobie que certaines personnes ont d'un animal ou d'un autre, qu'il soit à quatre pattes, ou rampant, ou volant, grand ou petit, chat, chien, araignée, insectes, serpent.

Une phobie, c'est bien connu, cela, dit-on, ne s'explique pas. Et pourtant…

Nous savons avec Rudolf Steiner :

1 / que la souffrance animale est indescriptible, dépassant notre entendement et notre conscience.

2 / qu'âme humaine ayant fait souffrir ou ayant maltraité l'âme animale aura à vivre en son purgatoire leurs douleurs vécus, multipliées par la puissance de leur douleur.

Méditant les Âmes-Groupes sur ces souffrances redonnées dans nos Kamalokas, j'ai pu voir comment l'Âme-Groupe TOMBE sur l'âme humaine, multipliant sa force de colère par autant d'animaux ayant vécus ET à naître, d'animaux mutilés, déformés, et sains, en Son Sein. L'Âme-Groupe TOMBE sur l'âme humaine avec ses milliers d'êtres, l'entourant, l'encerclant, de toute sa souffrance et surtout, de Sa colère divine contenue en Christ dont l'Âme-animale -Groupe est la garante : Juge de nos actes à leur encontre en Christ.

C'est de là que nait la phobie animale lorsque nous nous réincarnons. Elle peut perdurer une à plusieurs vies ne laissant pas l'âme humaine en paix tant que l'homme n'a pas voué son amour à l'âme-groupe qu'il a blessée malgré sa phobie.

Prenons une des phobies parmi d'autres, une simple , celle de la souris ou de l'araignée… Et imaginez ces milliers d'êtres en colère en leur Âme-Une vous agressant de toute part quand désincarnés et vous aurez compris la portée de ce purgatoire.

Le choc "frontal" vécu au purgatoire est tel dans l'horreur rendue à l'homme que l'homme parfois oublie que ses frères en l'humanité sont tout aussi importants que l'animal qu'il défend, à cause de cette rencontre astrale, disant souvent :

" Je déteste les hommes, les animaux sont meilleurs que lui."

est un revers qu'il lui faudra à nouveau regardé en le juste milieu des deux règnes.

De là naissent les associations vouées à la cause animale pour une de ces causes ou raisons.

BL

Pour comprendre l'âme  groupoe ou âme animale, suivez le lien

https://vegane.blogspot.com/2011/09/l-ame-animale-rudolf-steiner.html

Un animal, c'est ...

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Un animal, c'est l'amour démontré et encore l'amour qui a manqué durant des années d'un parent ; c'est la réparation en soi du vide vécu ; c'est le confident sans failles qui tait à tout jamais tous les secrets que nous lui avons confiés, et qui pour ces secrets nous aime davantage ; lui, nous confiant ses secrets impalpables, inaudibles, que nous comprenons à demi-effleurements de ses yeux plantés en les nôtres. Un animal, c'est le compagnon idéal dans les idéaux que nous avons souhaités avoir, sans trahison.
Il se dit qu'il n'est que comportements, mais à le regarder vivre, à le voir être avec nous, nous savons que même sans être doté de la pensée, il aime, nous aime.

Un animal, c'est un ami rare, un ami d'exception, sans ombres, nous portant vers sa lumière d'Âme-Une.

Ah , si chacun savait ! Nul ne lui ferait du mal et les humains le regarderaient comme leçon de vie, comme souvenir, comme mémoire de soi.

BLJ

 

Un en Soi un vécu

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Je n'ai jamais connu la différence d'aimer entre un humain, un animal, un végétal, un minéral. C'est cet Amour du tout créé dans la création qui fait la différence d'un humain à un autre. Je souhaite cet Amour à tous.

Imaginez que vous aimiez une rose comme on aime un enfant ; une pierre comme on aime un homme, une femme ; un ruisseau comme on aime une oeuvre d'art, et vous aurez compris le sens de l'Amour.

Il est Un en Soi un vécu.

BLJ

Cyrano, le chat silence, la présence sons.

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Un chat, cela marche à pas de velours que nous n'entendons pas ; cela se déplace sans bruit, frôlant à peine l'air et pourtant son silence est audible quand il a déserté la vie. Sa présence est toujours palpable dans chaque pièce, sur chaque coussin, partout , c'est cette présence dans la mort qui est sons dans le silence.

BLJ

Photo non libre de droits : Cyrano de la Mosquée Bleue

 

 

Les nouveaux saints

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Partout, je rencontre des gens qui parlent d'eux comme s'ils étaient des saints. C'est superbe à entendre mais la rencontre est différente de la perception que l'autre a de soi. C'est pour cela que les guerres, les haines, perdureront, car tant qu'il y aura des " saints" de cette nature, nous perdons le sens de la vie et de son humanité en restant bercés  d' illusions.

Les saints ne parlent pas d'eux-même, ils agissent.

Leurs contraires n'agissent pas, ils parlent abondamment d'eux. 

Voyez celui-ci qui dit "avoir un regard d'innocence" et qui est fort intolérant dans chaque parole prononcée et entendue au point d'éjecter son prochain car il est dérangé ! Est-ce l'innocence de l'âme dans la perception qu'il a de l'innocence ? Non ! c'est un individualisme prenant le chemin de la Maya plutôt que de l'élévation, car l'innocent ne se dit pas innocent, il n' a rien à prouver de lui-même.

Par l'illusion qu'il a de son regard d'innocence, il aggrave le mal, lui fait la guerre dans l'illusion de le combattre mais jamais ne l'accompagne pour le transformer ni le rédimer. 

Voyez celui-là qui voit, constate et a la réponse d'une situation donnée,  laquelle réponse est sans quiproquo. Ce qu'il constate lui fait mal soit la naissance d'une compassion,  la réponse aussi qui est la vérification de la situation.  Pour ne plus subir cette douleur de l'âme, celui qui a constaté abreuve l'autre d'insanités reléguant sa compassion à une critique non fondée qui détruit son sentiment de compassion . Est-il un saint en cela ?

Voyez encore celui-là qui pour justifier de sa "sainteté" argue que la compassion de l'autre est une culpabilité ressentie en soi avant l'agir.  Nous entendons cela souvent. Le jugement de celui qui attribue la culpabilté à l'action de l'amour détruit cette part de lui-même qui veut que l'amour soit attesté, et simultanément diminue le vouloir dans l'amour que  l'action a dirigé et prise en soi. Tout acte d'amour ne comporte jamais de culpabilité. Quelles étranges interprétation et perception de l'aide d'autrui quand il est ainsi déshabillé de son origine !

Des exemples comme ceux-ci vous en trouverez beaucoup à la condition de vous réfléchir vous-même. 

Les saints se disant tels dans leurs propos, le laissant penser, sont les leurres puissants d'un temps à la dérive. Leur tâche consiste à faire croire que le mal est le bien et non un bien en devenir.  C'est une inversion de la pensée en celle-ci dans la mission de l'humanité. La gravité de tels faits doit être reprise devant ces natures sans sainteté, ce n'est cependant pas sans drame car leurs individualités tellement orientées vers le croire d'une telle sainteté est l'ouvertrure d'une guerre allant vers tous et chacun.

Les pensées de cette nature sont des pensées détrônées de l'esprit. Leur archétype primordial montre sa tristesse et voit son contraire se mouvoir.

L'individualité est devenue si puissante ( elle devait être ) qu'elle a, à cette heure de l'évolution, engendré son contraire.

Et ces saints étranges voulant déstabiliser  l'être et le  monde ont un visage charmant, de suaves paroles, de beaux arguments, que nul ne peut y lire la perversion à l'oeuvre lorsqu'allant frapper à de nombreuses portes pour se clamer pur, ils reçoivent l'assentiment des doubles heureux d'eux-mêmes. 

BL

Les "saints" de notre temps

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https://collections.louvre.fr/ark:/53355/cl020576769

Avez-vous rencontré  les saints de notre temps ?

Ils sont partout, parlant d'eux en termes élogieux, sont ceci, ne sont surtout pas cela, merveilleux en tout, sans défauts, sans colère, sans orientation malveillante, sans jamais aucune manipulations, ils sont ce qu'ils sont, incroyable en leur pensée persuadée d'être de ce monde la plus grande perfection. Ils sont incapables de faire du mal disent-ils, ne tueraient pas même une mouche puis voyant une mouche passer, l'écrasent. Leurs bouches vomissent leur perfection.

Ils sacrifient l'alentour composé de tout, d'hommes et d'Hommes, de fourmis malheureuses, pour être l'unique en leur merveilleux agissements. Partout je les rencontre, pleurant sur mes imperfections ou mes perfections !

Ils se parent de tant de qualités que le monde ne comprend pas pourquoi il va encore si mal, n'ayant que peu changé sa face, laissant grandir l'ombre rampante.

Grand mal de cette époque, leur nombre croît comme croît la mauvaise herbe. Ils sont.

Entendez leur verbe qui ne sont que des mots d'épines blessant tout ce qui ne leur ressemble pas ; tout ce qui ne leur convient pas. Pourquoi se chahutent-ils puisque si semblables ?

Ah ! Les saints de notre temps ! Ils sont si riches de perfection que le fleuve de mes larmes, jamais, ne lavera le monde de cette excellence falsifiée.

Suis-je émerveillée de rencontrer tant de gens parfaits ? Non ! Juste étonnée !

BLJ

https://www.boutiquesdemusees.fr/fr/chefs-d-oeuvre-des-musees/l-orgueil-albrecht-altdorfer/18905.html

Au détour de nos chemins

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Il y a au détour de nos chemins des êtres infâmes ayant l'apparence du bien et s'étant chargé de la connaissance pour mieux en jouer et avilir, tout en se gaussant d'une merveilleuse perf'ection inexistante. Ils ont face de serpent.

Si point  ils ne sont reconnus, comment ferez-vous lorsque l'heure viendra de LE reconnaître.

BLJ

Les donneurs de leçons

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Savent-ils les donneurs de leçons qu'ils enseignent ce que d'autres ont éprouvé sans rien en connaître, et que ceux qui ont été éprouvés ne donnent pas de leçons, ils montrent l'exemple ; ils témoignent par des actes valant connaissance : dans la rue, les vieilles masures, au chevet des malades, en visitant les prisons.

Que les donneurs de leçons commencent à témoigner leurs actes en l'Amour du Monde, ils seront ainsi estimés à leur juste mesure.

BLJ

Traduction informatique spontanée ou interprétation

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Odilon Redon

J'ai souvent constaté que les traductions informatiques  masquaient le sens réel d'un écrit ou que l'interprétation individuelle selon la nature astrale de l'âme falsifiait le sens réel donné.

Lors de traductions spontanées de textes d'autres, ayant moi-même commenté, il m'a été dit que je n'en avais pas compris le sens, ce que j'admets pleinement, les traductions Google ou d'autres logiciels laissant beaucoup de hasards d'interprétation.

Je me souviens que lorsque, jeunes étudiants, nous étions en classe de  lettres, étudiant un poème, il y avait autant d'interprétations que d'avis d'élèves donnés, ce que notre professeur validait, ayant lui-même sa propre perception du poème.

Cependant en tant que poète, un sens précis est donné à chaque écrit dans le jeu des métaphores.

Comme en musique, c'est le leitmotiv qui en donne le sens, c'est à dire en poésie, des mots revenants dans l'écriture lorsqu'ils doivent être perçus par le lecteur.

BLJ

de Jean-Léon Gérôme

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