Béatrice Lukomski-Joly


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Sobriété et Amour

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Entre deux âmes rencontrées, je préfère celle qui fume une cigarette, boit un verre de bon vin sans être ivre et est pure de coeur en l'Esprit  plutôt que celle qui est sobre, jusqu'au végétarisme et ne possède rien de l'Amour en Soi.

"Dis-moi ce que tu manges" ne fait pas l'Humain, il ne fait que l'homme.

Sobriété physique et sobriété de l'âme sont deux chemins qui ne mènent pas au même endroit ; l'un est un combat dans la violence faite à soi-même si elle n'est pas une nature en soi, et l'autre n'a été conduit vers soi que par l'épreuve endurée, subie, et transformée.

BLJ

Haïr, c'est se priver de ...

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Haïr, c'est se priver volontairement de ce qu'il y a de plus noble et de plus beau en soi : l'Amour.

L'amour : N'en parlez plus avant de l'avoir démontré ; montrez le en vous pour le démontrer et il sera.

Rayonnez de noblesse et de beauté. Car le petit verbe que l'homme parle n'est pas le Verbe résonnant en soi son écho.

BLJ

Un ami Néerlandais m'a fait ce superbe cadeau, c'est à sire traduire cette phrase en plusieurs langues ; les voici :

Thorvald Dudok van Heel

🇧🇶 Haten is jezelf vrijwillig beroven van wat het edelste en mooiste in jezelf is: Liefde.

 🇩🇪Hassen bedeutet, dass man sich selbst absichtlich das Edelste und Schönste in sich selbst vorenthält: die Liebe. 🇬🇧To hate is to voluntarily deprive oneself of what is most noble and most beautiful in oneself: Love.

 🇷🇺Ненавидеть - значит добровольно лишать себя того, что является самым благородным и самым прекрасным в самом себе: Любви. 

🇷🇴A urî înseamnă a te priva în mod voluntar de ceea ce este mai nobil și mai frumos în tine însuți: iubirea.

 

J'ai nettoyé ma demeure

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Le poème inversé de "Quand sauge éclaire"

 

Ma demeure en ses corps transparents

flotte dans l’air de la rose

et la sauge opaline partage le vent

après que fut la vie éclose.


 

La sauge évanouie, le cade consumé,

brûle le Bois Sacré de l’Est à l’Est,

toutes ouvertures entrebâillées,

pour qu’ici respirent toutes âmes célestes.


 

Agenouillée, l’esprit léger,

je psalmodie versets et arias

pour tant de beauté et de majesté,

quand la foi aime son verbe en son alléluia.


 

La brume envole leur parfum,

dehors, dedans, en mon foyer,

et chantent les sages défunts

quand de la fumée, tout est purifié.


 

J’ai nettoyé ma demeure

d’un brin de sauge blanche,

d’un bois de cade qu’aime l’heure,

quand en moi fleurie est ma branche.

 

Le teint de l'aube

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Tableau de Petra Ackermann

 

Le serment du matin

 

Quand vient le serment du matin

Dès le trait premier,

Quand paraît l’aube de son teint,

S’anime mon foyer.

 

Puis, lentement, vole et tournoie

Dans l’air se levant

La rose rouge sur mon bois

Pour la vie s’élevant.

 

Quand au ciel flamboyant du jour

Vient près de mon âme

L’esprit me revêtant d’amour

Se voit l’oriflamme.

 

Bleu enflammé d’éclats d’étoiles

Tel nos firmaments,

Pose de volonté son voile,

L’offre en sacrement.

 

Oublierai-je la clarté,

L’aube, tôt le matin,

Venue ceindre ma pureté

Quand née du destin.

 

Nuit bleue dans l’aurore dorée

Quand lueur devient

Et que lumière soit levée,

Je vis l’Amour saint.

 

Être et briller en Sa venue,

Ses mains à mon front,

Son Amour partout soutenu,

Rose en mon bourgeon.

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Versification inversée

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Rose en mon bourgeon,

en Son Amour partout soutenue,

ses mains à mon front,

je suis et brille en Sa venue.

 

Je vis l’Amour saint,

quand lumière se lève.

Nuit bleue dans l’aurore dorée

et la lueur devient.

 

Oublierai-je la clarté,

L’aube, tôt le matin,

Venue ceindre ma pureté

Quand née du destin.

 

Bleu enflammé d’éclats d’étoiles

Tel nos firmaments,

Pose de volonté son voile,

L’offre en sacrement.

 

Quand au ciel flamboyant du jour

Vient près de mon âme,

L’esprit me revêtant d’amour

Se voit l’oriflamme.

 

Puis, lentement, vole et tournoie

Dans l’air se levant

La rose rouge sur mon bois

Pour la vie s’élevant.

 

Quand vient le serment du matin

Dès le trait premier,

Quand paraît l’aube de son teint,

S’anime mon foyer.

 

Pastel sec ( La signature est en bas à droite mais je n'arrive pas à la lire, peut-être le pourrez-vous et me dire pour que je mette le lien en hommage à l'auteur de cette merveille )

Le serment du matin - en haut en bas -

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

Quand vient le serment du matin

Dès le trait premier,

Quand paraît l’aube de son teint,

S’anime mon foyer.

 

Puis, lentement, vole et tournoie

Dans l’air se levant

La rose rouge sur mon bois

Pour la vie s’élevant.

 

Quand au ciel flamboyant du jour

Vient près de mon âme

L’esprit me revêtant d’amour

Se voit l’oriflamme.

 

Bleu enflammé d’éclats d’étoiles

Tel nos firmaments,

Pose de volonté son voile,

L’offre en sacrement.

 

Oublierai-je la clarté,

L’aube, tôt le matin,

Venue ceindre ma pureté

Quand née du destin.

 

Nuit bleue dans l’aurore dorée

Quand lueur devient

Et que lumière soit levée,

Je vis l’Amour saint.

 

Être et briller en Sa venue,

Ses mains à mon front,

Son Amour partout soutenu,

Rose en mon bourgeon.

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Quand vient le serment du matin

Dès le trait premier,

Quand paraît l’aube de son teint,

S’anime mon foyer.

 

Puis, lentement, vole et tournoie

Dans l’air se levant

La rose rouge sur mon bois

Pour la vie s’élevant.

 

Quand au ciel flamboyant du jour

Vient près de mon âme

L’esprit me revêtant d’amour

Se voit l’oriflamme.

 

Bleu enflammé d’éclats d’étoiles

Tel nos firmaments,

Pose de volonté son voile,

L’offre en sacrement.

 

Oublierai-je la clarté,

L’aube, tôt le matin,

Venue ceindre ma pureté

Quand née du destin.

 

Nuit bleue dans l’aurore dorée

Quand lueur devient

Et que lumière soit levée,

Je vis l’Amour saint.

 

Être et briller en Sa venue,

Ses mains à mon front,

Son Amour partout soutenu,

Rose en mon bourgeon.

 

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Rose en mon bourgeon,

en Son Amour partout soutenue,

ses mains à mon front,

je suis et brille en Sa venue.

 

Je vis l’Amour saint,

quand lumière se lève.

Nuit bleue dans l’aurore dorée

et la lueur devient.

 

Oublierai-je la clarté,

L’aube, tôt le matin,

Venue ceindre ma pureté

Quand née du destin.

 

Bleu enflammé d’éclats d’étoiles

Tel nos firmaments,

Pose de volonté son voile,

L’offre en sacrement.

 

Quand au ciel flamboyant du jour

Vient près de mon âme,

L’esprit me revêtant d’amour

Se voit l’oriflamme.

 

Puis, lentement, vole et tournoie

Dans l’air se levant

La rose rouge sur mon bois

Pour la vie s’élevant.

 

Quand vient le serment du matin

Dès le trait premier,

Quand paraît l’aube de son teint,

S’anime mon foyer.

 

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