Nous rencontrons parfois des êtres avouant dans le secret des échanges qu'ils ont refusés trente fois d'accorder le pardon demandé à une âme leur ayant demandé trente fois le pardon avant de mourir,
mais ils clament haut et fort en public que le Très Haut parle au travers eux et les sert.
N'est pas naïf celui qui voit l'Amour en tous êtres quels qu'ils soient, car conçus par et dans l'Amour-Père de la création.
Croire le contraire est de pensée méphistophélique.
"On" m"a dit naïve d'aimer chacun de toutes races, couleurs et croyances, et demandé que je regarde le monde dans son évolution afin de ne pas être de perdition (idée suggérée).
J'ai répondu et je réponds : « J'ai vu, et mieux, observé, le monde.
Au-delà des idées, des opinions, des croyances, des manipulations, je n'ai vu que des hommes (humains, hommes, femmes, enfants).
Est-ce être naïf que de privilégier un semblable à soi en l'esprit à une idée, une croyance, une idéologie ?
La Connaissance n'est pas donnée pour diviser, mais pour unir.
Ne priez jamais pour que des êtres d'Amour dits de perdition soit rédemptés car ils le sont déjà depuis longtemps. Ils voient et connaissent la place exacte du mal qu'ils reconnaissent également dans la voix qui les invective.
Y a-t-il au monde un seul et unique homme qui ne mérite pas l'Amour, quand bien même, il serait l'otage d'une méconnaissance, absent de la connaissance, ancré dans l'erreur de la pensée, manipulé par le monde qui ne souhaite pas le voir installer à sa juste place ?
Exemple : Un peuple qui se déplace, ayant un rêve de vie, tel nous le vivons, ne mérite-t-il pas notre amour et notre compassion, dans la mesure où il est formé d'hommes que l'Amour aime.
Un jour, une personne est gravement malade. Elle ignore si elle va guérir. Vous la secondez et travaillez l'espérance en elle, en plus de prodiguer des soins. Cette personne guérit après de longs mois d'alitement chez elle ou de prostration intérieure. Vous l'avez aidée à guérir. Cette personne vous dit que vous ne l'avez pas guérie. Effectivement, elle s'est guérie seule. Qu'est-ce qui a agi ? Les soins donnés ou l'espérance infusée en son âme ? L'espérance anime la foi en soi qui devient le moteur de la guérison, alliée aux soins. Vous avez donc bien guéri cette personne en lui prodiguant de l'espoir à profusion.