Béatrice Lukomski-Joly


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Khalil Gibran "Le fils de l'Homme"

Rédigé par béatrice Lukomski-Joly Aucun commentaire

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gibran_Khalil_Gibran

 

« Mon art ne peut trouver meilleur lieu de résidence que la personnalité de JÉSUS. Sa vie est le symbole de l'Humanité. Il sera toujours la figure suprême de tous les âges, et en Lui nous trouverons le mystère, la passion, l'Amour, l'imagination, la tragédie, la beauté, l'idylle, et la vérité. »

                                                                                                                                                                                                      paroles de Khalil Gibran à Mary Haskell

 

"Un jour, on lira vos silences avec vos écrits, et votre obscurité sera partie intégrante de la LUMIÈRE..."

 

                                                                                  Mary Haskell

https://en.wikipedia.org/wiki/Mary_Haskell_(educator)

 

Les symboles Texte du poète Patrick Carré chanté par Gérard Berliner

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GERARD BERLINER Les symboles

Extrait du CD "Le flambeau".Auteur: Patrick Carre:/Musique et voix:Gérard Berliner.

Récité ici par  Jean-Jacques SOUIN

 

Les symboles habitent les rêves,

Guident le regard des vivants

Vers un monde où l’aube se lève

A l’aune d’un nouvel Orient.


Ils éclairent les voyageurs,

L’étoile mère des passants,

Loin des grands isthmes réducteurs,

Des systèmes en manque de vent.



Ils quittent le sens commun

Et donnent des noms de baptême,

La marque, le sceau de chacun,

Son identité, son emblème.



Ils portent l’empreinte des clés,

Celles qu’on recherche dans le doute,

Qu’on rajoute aux autres lovées

Sur l’anneau qui les contient toutes.


Ils promettent dès le matin

De marier la lumière et l’ombre,

D’être les acteurs, les témoins

De la paix trouvée les jours sombres.



Ils ouvrent les portes du Temple

Au transports du cœur, de l’esprit,

Qui se réfléchissent, se contemplent,

Et délivrent l’homme fini.



Ils arment les non-dits de patience,

Donnent la parole à la voix,

Font des mesures de silence

Les prémisses de l’hymne à la joie.



Ils comptent un et un font trois ;

Quand l’un réfléchit, l’autre pense

A ce qui dépasse la foi

Et s’imprègne de transcendance.



Ils forment des vœux, des recours,

Donnent du souffle à l’action

Des maîtres qui volent au secours

Des seigneurs de la compassion.



Ils laissent le beau transparaître,

Ecartent les objets sans valeur,

Font de la quête du bien-être

Un accouchement sans douleur.


L’œil sait garder ses distances

Quand survient le quant-à-soi, 

Son manque d’idées, de confiance,

Et le son des langues de bois.


Dans cet élagage à l’envers,

On retrouve l’instant d’avant

Tout ce qui se passe à couvert,

On s’accorde ce qu’on se défend.


Nos mains se croisent dans l’espace,

S’agrègent, entrent en harmonie ;

Alpha se reflète dans la glace,

Fait le signe de l’infini.


Tout se révèle, tout fait sens ;

A l’abri de l’analogie

Choisir en son âme et conscience

L’équilibre ou la symétrie.


Tout se complète, se compense,

Et compose un bouquet fleuri,

Livre les arômes, les essences,

Les racines de l’arbre de vie.

 

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